Dans le cadre de sa politique scientifique et de soutien à la recherche, l’Institut national d’histoire de l’art propose un certain nombre d’invitations, de soutiens, de bourses ou de contrats.
L’Institut national d’histoire de l’art et le Comité des travaux historiques et scientifiques ouvrent l’appel à candidature pour le prix de thèse « L’Art et l’Essai » 2026.
En partenariat avec le ministère de la Culture (service des Musées de France), l’INHA accueille, pour un séjour de recherche d’une durée d’un à trois mois en 2026, des conservateurs et conservatrices territoriaux du patrimoine, des attachées et attachés territoriaux de conservation du patrimoine ainsi que des assistantes et assistants territoriaux de conservation du patrimoine ou des chargées et chargés de collection en poste dans un musée de France.
Depuis 2010, l’Institut national d’histoire de l’art (INHA) et l’Académie de France à Rome – Villa Médicis attribuent chaque année deux bourses pour des recherches portant sur l’art de la Renaissance à nos jours.
Afin d’encourager les projets postdoctoraux d’excellence, l’INHA attribue en 2025 un contrat postdoctoral, d’une durée d’un an, grâce à une subvention du ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche (MESR). Ce contrat est éventuellement renouvelable un an.
Le Fonds Yavarhoussen et l’INHA lancent l’appel pour la quatrième édition de la bourse Yavarhoussen. Cette bourse est destinée à encourager et consolider la recherche universitaire sur l’histoire de l’art à Madagascar du XIXe au XXIe siècle. Ce sujet de recherche reste à l’heure actuelle encore trop lacunaire pour faire l’objet d’une connaissance largement partagée.
L’INHA offre plusieurs bourses aux historiennes et historiens de l’art, pour soutenir leurs déplacements pour des missions de recherche en Europe.
Le Centre allemand d’histoire de l’art Paris (DFK Paris) et l’Institut national d’histoire de l’art (INHA) attribuent conjointement une bourse d’un an à partir du 1er septembre 2025. Cette bourse d’excellence s’adresse à des chercheuses et chercheurs en histoire de l’art en début de carrière (doctorantes et doctorants, postdoctorantes et postdoctorants), venant de France, d’Allemagne ou de tout autre pays.
Le principe de la Carte blanche consiste à soutenir une recherche en histoire de l’art menée en consortium par différents acteurs et institutions au sein d’une région dans le temps de l’année civile définie. L’objectif est de favoriser la collaboration entre les institutions (musées, universités, laboratoires de recherche, CNRS, écoles supérieures de la création, centres d'art, etc.) et un croisement fertile des méthodes et savoirs.
L’INHA offre plusieurs bourses aux étudiantes et étudiants en histoire de l’art en master, pour soutenir leurs déplacements pour des missions de recherche en France.
L’INHA soutient les initiatives de jeunes chercheuses et chercheurs : chaque année, elle invite pour une résidence de 4 mois un collectif qui travaille sur des périodes allant de l'Antiquité à nos jours, dans un domaine lié à l'histoire de l'art.
L'INHA s'associe avec la Fondation Jean Blot pour organiser et remettre le prix Vitale et Arnold Blokh.
Sous l'égide de la Samuel H. Kress Foundation, l’INHA attribue chaque année une bourse de recherche doctorale pour deux années de séjour à Paris.
L’INHA peut accueillir en résidence des chercheuses et chercheurs déjà bénéficiaires d’un financement.
Grâce au soutien renouvelé du MESR pour la quatrième année consécutive, l'INHA attribue en 2025 des bourses de mobilité nationale et internationale aux jeunes chercheuses et chercheurs pour des projets relatifs à l’histoire de l'art.
Quatre contrats doctoraux sont à pourvoir à l’Institut national d’histoire de l’art à compter d'octobre 2025.
Rotondes est le congrès des jeunes chercheurs et chercheuses en histoire de l’art et en archéologie. Organisé par les doctorantes et les doctorants de l’Institut national d’histoire de l’art, il s’adresse à celles et ceux qui pensent, créent et contribuent au développement de ces deux disciplines.
Attribuée chaque année par l’Institut national d’histoire de l’art et la Fondation TIQUITAQUE, cette bourse à la mobilité de 200 euros concerne les étudiantes et étudiants en histoire de l'art résidant hors Île-de-France.
L’Institut national d’histoire de l’art offre plusieurs bourses pour soutenir les séjours de recherche en Europe d'historiennes et d’historiens de l'art. Cette aide prend la forme de remboursement de frais de mission sur justificatifs à hauteur de 800 euros maximum pour des déplacements en 2025.
L’Institut national d’histoire de l’art offre plusieurs bourses pour soutenir les déplacements pour des missions de recherche en France d'étudiantes et étudiants en histoire de l'art inscrits en master. Ces bourses prennent la forme d’un remboursement sur justificatifs à hauteur de 1000 euros maximum pour des déplacements en 2025.
En lien avec l’exposition « Art “dégénéré”. Le procès de l’art moderne sous le nazisme » présentée au Musée national Picasso-Paris du 18 février au 25 mai 2025 et le programme Répertoire des acteurs du marché de l’art en France sous l’Occupation (RAMA) de l’Institut national d’histoire de l’art, le Musée national Picasso-Paris, le Musée d’art et d’histoire du judaïsme et le Centre allemand d’histoire de l’art (DFK Paris) organisent un colloque international sur ce thème, à Paris, les 27 et 28 mars 2025.
Destinée aux doctorants et étudiants en master 2 travaillant sur l’image, l’Université d’été offre un lieu et un temps privilégiés de rencontres entre professionnels et jeunes chercheurs, accueillant les recherches les plus stimulantes consacrées à l’histoire de l’art européen et extra-européen du XVIIe siècle (entendu largement, des années 1580 à 1720).
Apprend-on à devenir artiste ? Cette question, jamais résolue, traverse l’histoire de l’art contemporain. En elle, des conceptions esthétiques, philosophiques, culturelles, peut-être même religieuses, se cristallisent et s’opposent.
Organisée à Paris du lundi 23 au jeudi 26 juin 2025 avec le concours d’une trentaine d’intervenants, cette programmation d’ateliers et de visites en groupe restreint, adossée à un cycle de conférences et de tables-rondes ouvertes au public, proposera à un groupe de quinze participants l’opportunité unique d’une expérience de recherche, d’apprentissage et de rencontres autour du thème de l’usage de l’or en peinture et dans les arts.
La journée d’étude organisée au Centre d’études supérieures de la Renaissance, en partenariat avec le Musée des Beaux-Arts de Tours et l’INHA, propose de rouvrir le dossier de la question de la commande artistique, en invitant historiennes et historiens de l’art et historiennes et historiens à présenter les recherches récentes sur différents champs artistiques (architecture, peinture, sculpture, livre imprimé…).
Ces rencontres, consacrées à « la restauration de sculptures monumentales de la Renaissance en France », sont organisées par le Centre d’études supérieures de la Renaissance, le musée des Beaux-Arts de Tours, l’Institut national du patrimoine et l’Institut national d’histoire de l’art. Elles se dérouleront à Tours et à Paris.
En 2026, afin d’encourager les échanges nationaux et internationaux, l’INHA accueillera des chercheurs et chercheuses, pour une durée comprise entre 1 et 3 mois. Les chercheurs résidant en France métropolitaine ne sont pas éligibles à ce dispositif d'accueil. La priorité sera accordée aux chercheurs et chercheuses confirmés (ayant soutenu leur thèse depuis au moins 5 ans) ou aux professionnels et professionnelles de l’histoire de l’art ayant acquis une expérience professionnelle équivalente.
L’Institut national d’histoire de l’art propose une aide à mobilité aux jeunes chercheurs et chercheuses résidant en dehors d’Île-de-France et qui souhaiteraient assister au congrès Rotondes, les 3 et 4 avril 2025 à l’INHA. Ces aides à mobilité prennent la forme d’un remboursement sur justificatif de présence au congrès à hauteur de 100 euros maximum.
L’historiographie de l’art byzantin suscite depuis plusieurs années un large regain d’intérêt, notamment car la connaissance de l’art de Byzance contribue à éclairer certaines grandes questions contemporaines comme le sens à donner à l’orientalisme ou la place des régions ayant appartenu à l’empire byzantin dans les équilibres géopolitiques actuels. La création récente au musée du Louvre d’un département consacré aux « arts de Byzance et des chrétientés d’Orient » dénote un engouement nouveau pour Byzance et son historiographie.
Pour la quatrième année, les rencontres internationales étudiantes prendront la forme d’un séminaire de recherche et d’une participation libre au festival. Menées en partenariat entre le Centre allemand d’histoire de l’art à Paris, l’Institut national d’histoire de l’art, l’Université de Vienne, le Centre interdisciplinaire d’études et de recherche sur l’Allemagne et la Fondation pour l’art et la recherche.
Le colloque « Perspectives sur les histoires de l’art dans les Balkans : acteurs, réseaux et pratiques de l’ère moderne au monde contemporain » se veut un forum qui réunit les recherches académiques et la création artistique (par une série d’expositions et de projections).
En lien avec le programme Répertoire des acteurs du marché de l’art en France sous l’Occupation (RAMA) et dans le cadre des projets de l’Institut national d’histoire de l’art liés aux recherches sur le marché de l’art et les provenances, l’INHA organise une journée d’étude intitulée Les arts d’Afrique pendant la Seconde Guerre mondiale : Spoliations, destructions, déplacements.
À l’occasion des 42e Journées européennes du patrimoine, l’Institut national d’histoire de l’art invite les étudiants et récents diplômés de master 2 en histoire de l’art et archéologie à présenter leurs sujets de recherche en public, le dimanche 21 septembre 2025.
Cette journée d’étude entend ouvrir un dialogue entre chercheurs de différentes disciplines pour éclairer l’usage des notions de régionalisme et de nationalisme dans la construction disciplinaire de l’histoire de l’art au début du XXe siècle, alors que ces notions ont jusqu’à présent surtout été étudiées dans le champ politique ou littéraire autour des figures du Lorrain Maurice Barrès et du Provençal Charles Maurras – à l’exception notable des travaux de Michela Passini sur le discours nationaliste des historiens de l’art en France et en Allemagne.
