Ayant pris la mesure de ces besoins, l’INHA a réuni les principales personnes intéressées à ces questions qui ont pu être identifiées au niveau français (soit plus d’une vingtaine de chercheurs, conservateurs du patrimoine, universitaires, architectes, chargés de recherche au CNRS). Celles-ci ont préconisé à l’INHA, d’une part, le développement d’outils documentaires signalant les travaux et les sources relatives à l’architecture coloniale et, d’autre part, l’organisation régulière de colloques et de rencontres pour souder la communauté scientifique autour de cette thématique.
À cet effet, un recensement bibliographique sur les « Villes et architectures des terrains coloniaux aux XIXe et XXe siècles » a été réalisé par Sophie Brones, chargée d’études à l’INHA, avec la collaboration de Bernard Toulier (Institut national du Patrimoine) et de Mercedes Volait (programme « patrimoine partagés » Euromed Heritage).