Entre situation des musées irakiens, relectures du modernisme et art contemporain Atelier de recherche du collectif GAP

Crédit Photo : Michael Rakowitz, The Invisible Ennemy Should Not Exist, 2007- © the artist

Lors de cet atelier à l'Institut national d'histoire de l'art, Morad Montazami  questionnera la réinvention du patrimoine par les artistes, avec pour point de départ les pillages du Musée des Antiquités et le Musée d'Art Moderne de Bagdad. Il cherchera à restituer les enjeux méthodologiques liés à l'exposition Bagdad mon Amour, à l'Institut des Cultures d'Islam (28 mars-27 juillet 2018), ainsi que certaines conversations de travail avec des collègues artistes, journalistes, chercheurs, dont certains pourront être présents, d'autres connectés en ligne. 

Ce premier rendez-vous de travail permettra d'envisager l'exposition comme une plateforme de recherche et de préparer un second rendez-vous, avec une journée d'étude internationale sur "Les histoires de l'art en conflit", le 30 mai 2018 à l’INHA.

Programme

9h45-10h: Accueil des participants dans la salle Vasari 

10h-12h: Présentation et discussion des enjeux par Morad Montazami, ainsi que des archives ayant servi pour l’exposition, discussion libre. 

12h-13h: Pause déjeuner 

13h-17h: Interventions et dialogues avec plusieurs invités, connectés en ligne dont Ahmed Naji (chercheur en histoire de l'art moderne irakienne) et Ala Younis (artiste) mais aussi présents en personne comme le collectif Mosul Eye par Angela Boskovitch et Omar Mohamed (activistes culturels). 

La journée se finira par une collation.

Michael Rakowitz, The Invisible Ennemy Should Not Exist, 2007- ©Michael Rakowitz

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Informations pratiques

31 mars 2018 - 10H-17H
Galerie Colbert, salle Giorgio Vasari
Institut national d’histoire de l’art
2, rue Vivienne ou 6 rue des Petits Champs
75002 Paris

entrée libre