PALUSTRE, Léon(4 février 1838, Saivre [Deux-Sèvres] – 24 octobre 1894, Saint-Symphorien [Indre-et-Loire])

Auteur(s) de la notice : PAUWELS Yves

Profession ou activité principale

Avocat, « propriétaire »

Autres activités
Archéologue, conservateur, historien de l'art

Sujets d'étude
Art et architecture de la Renaissance en France et en Italie

Carrière
Études au collège des jésuites de Poitiers
Études de droit
1862 : membre de la Société française d'archéologie
1866 : voyage en Italie
1869 : membre correspondant de la Société archéologique de Touraine (Tours)
1871-1874 : conservateur du musée de la Société archéologique de Touraine
1876-1883 : président de la Société française d'archéologie
1876-1894 : directeur du Bulletin monumental
1883-1894 : directeur honoraire de la Société française d'archéologie
1883-1889 et 1892-1894 : président de la Société archéologique de Touraine
1889-1892 : président d'honneur de la Société archéologique de Touraine

Officier de l'Instruction publique, chevalier de la Légion d'honneur (1893)
Lauréat de l'Institut (Académie des inscriptions et belles-lettres)

Étude critique

Léon Palustre n'est pas à l'origine un professionnel de l'histoire de l'art : il n'est ni universitaire, ni archiviste, ni architecte. Fils d'un capitaine d'infanterie, il fit des études de droits et obtint le diplôme d'avocat, mais il ne semble pas qu'il ait beaucoup exercé. Son acte de décès ne mentionne aucune autre profession que celle de « propriétaire » : il a donc vécu de ses rentes pour se consacrer à sa passion d'« archéologue » – au sens où l'entendait bien sûr le XIXe siècle. Pour reprendre les mots de son biographe Henri Faye, « Palustre se crut autorisé à suivre la voie où l'entraînaient ses aspirations, sans chercher dans l'exercice d'une fonction publique ou d'une profession libérale la sujétion à laquelle répugnait l'indépendance de son caractère, en même temps que la variété de ses goûts » (Bulletin de la Société archéologique de Touraine, X, 1895, p. 14). La seule fonction qu'il remplit, celle de conservateur du musée de la Société archéologique de Touraine, lui échut un peu par hasard, en 1871, à la suite de la mort du titulaire, décédé des suites d'une maladie contractée en suivant le cercueil d'un membre de la Société, lui-même assassiné… Palustre devait du reste démissionner de cette charge dès 1874, à cause d'une bévue peu appréciée par les autres membres.

Cette formation générale fut affinée par de nombreux voyages, en particulier un périple italien qui, dans sa jeunesse, lui fit découvrir et admirer l'art de la Péninsule. Ce voyage fut l'occasion de la publication d'un récit, De Paris à Sybaris : études artistiques et littéraires sur Rome et l'Italie méridionale, 1866-1867, son premier grand livre, publié en 1868 sous le nom de Palustre de Montifaut – titre nobiliaire fantaisiste, que son collègue (et sans doute rival) tourangeau Carré de Busserolle, dans une perfide notice du Dictionnaire géographique, historique et biographique d'Indre-et-Loire de 1883, ne devait pas manquer de railler. L'éclectisme de ses intérêts l'amena aussi à des publications éloignées de l'archéologie, comme, en 1877, une traduction critique du Mystère d'Adam, vieux texte médiéval. Mais l'essentiel de son activité se réalisa dans une participation assidue aux grands congrès archéologiques de l'époque, et à l'animation de la Société française d'archéologie où il fut reçu dès 1862, et qu'il dirigea, après la démission de son fondateur Arcisse de Caumont et l'intérim de Gustave de Cougny, à partir de 1875 et jusqu'en 1883, date à laquelle il se contenta du titre de « directeur honoraire » tout en conservant la direction du Bulletin monumental. Couronnement de cette activité, il reçut des mains du ministre de l'Instruction publique la Légion d'honneur en 1893, lors d'une belle cérémonie à la Sorbonne ; à cette occasion, la Société française d'archéologie organisa une souscription qui permit de lui offrir une « réduction à demi-grandeur du groupe des Trois Grâces de Germain Pilon » (Bulletin monumental, série 6, t. VIII, vol. 58, p. 485).

Dans ce rôle d'amateur éclairé, Palustre fut très actif. Il organisa voyages, excursions et causeries, et participa à l'organisation d'expositions à Tours : une exposition rétrospective des Beaux-Arts en 1873, une autre à l'occasion du cinquantenaire de la Société archéologique de Touraine en 1890, pour lesquelles il dirigea les catalogues. Il publia quantité de textes, le plus souvent des monographies, dans le Bulletin monumental (une cinquantaine d'articles entre 1876 et 1883), la Gazette des Beaux-Arts, le Bulletin de la Société archéologique de Touraine, sans compter des contributions aux congrès archéologiques et aux publications d'autres sociétés savantes, Mémoires des antiquaires de l'Ouest ou Revue poitevine et saintongeaise. Il participa à La France artistique et monumentale d'Henry Havard (t. II, III et IV et VI, Paris, 1893-1895), avec des monographies sur Amboise, Blois, Chambord et Chenonceau. Mais il aborda aussi les sujets les plus divers, dépassant volontiers le cadre de l'art de la Renaissance (le Bulletin monumental publia ainsi des articles intitulés « Un cuisinier de Caligula » en 1876, « La Maison natale de Gassendi » en 1878, « Du mot corpusculus » en 1879…). Tout ceci témoigne d'une grande curiosité et d'une vaste culture, qui sont à la base de son grand œuvre inachevé, La Renaissance en France, dont la publication, commencée en 1879, s'interrompit avec le troisième volume en 1885. Peu de temps avant son décès prématuré, il avait publié pour la collection de la Bibliothèque de l'enseignement des Beaux-Arts une synthèse intitulée L'Architecture de la Renaissance.

Il est difficile aujourd'hui de juger objectivement la méthode de ces « archéologues » qui, au XIXe siècle, eurent au moins l'immense mérite de remettre l'art de la Renaissance française au centre des préoccupations. Comme ses contemporains, Louis Courajod ou Louis Dimier, Palustre partait pour ainsi dire de rien, sinon d'une tradition forgée par les architectes remontant à André Félibien, selon laquelle toute l'architecture française du XVIe siècle était l'œuvre d'Italiens. Le XIXe siècle positiviste apporta des méthodes historiques plus fiables, en particulier un recours systématique aux documents d'archives. Ces textes révélèrent des noms, et des noms français : ceux des hommes avec qui l'on passait marché, c'est-à-dire les maçons et les entrepreneurs chargés de la réalisation des bâtiments. Rares sont les noms italiens livrés par ces archives. Dès 1850, Achille Deville, publiant les comptes du château de Gaillon, soulignait que Jean Joconde, à qui l'on attribuait alors la paternité du château normand, n'était pas cité une seule fois dans les documents qu'il avait examinés (Comptes de dépenses de la construction du château de Gaillon, Paris, 1850-1851, p. XIII). Sur ces nouvelles bases, dans les années qui suivirent la défaite de 1870 et dans le contexte d'un sentiment nationaliste qui s'en trouva singulièrement renforcé, l'idée d'exclure les Italiens de la genèse d'un art spécifiquement français jouit d'un succès tout particulier qui alla jusqu'à aveugler les plus avertis des amateurs, dont Palustre représente un parfait exemple. « Pareille doctrine, » écrit François Gébelin en 1927, « appelée d'avance au succès parce qu'elle flattait les sentiments particularistes de nos compatriotes, a été reprise et amplifiée par Léon Palustre, dont l'idée maîtresse fut de démontrer que la Renaissance française était essentiellement l'œuvre des Français. Ce fut alors une hécatombe funeste de toutes les vieilles gloires et la découverte d'une légion de génies méconnus. Oubliant que sa théorie reposait sur l'étude des pièces d'archives, Palustre eut la manie de nommer les architectes des monuments, alors même que les textes faisaient défaut. Ce jeu des attributions aboutit parfois à des résultats comiques, par exemple lorsqu'il ajouta l'aile François Ier, à Blois, aux œuvres déjà nombreuses de l'illustre Charles Viart, artiste de grand talent, mais qui n'a jamais existé que dans l'imagination des archéologues » (Les Châteaux de la Renaissance, Paris, 1927, p. 1-2).

Le parti pris nationaliste s'affirme dès l'introduction de La Renaissance en France, le livre que Palustre considérait sans aucun doute comme son œuvre majeure, restée inachevée en raison du coût de cette entreprise éditoriale luxueuse, illustrée de superbes gravures exécutées sous la responsabilité d'Eugène Sadoux – Palustre ne put en particulier publier les pages consacrées à sa chère Touraine. La première idée est que l'histoire des arts, depuis trois cents ans, n'a jamais reconnu la valeur du génie français, en particulier pour le Moyen Âge, qui fut l'époque où « notre pays marchait à la tête de la civilisation » alors que l'Italie « sommeillait depuis la chute de l'Empire romain » (vol. 1, p. I-II). Par conséquent, il est impropre de parler de « Renaissance » : le terme est valable pour l'Italie, pas pour la France où les arts n'avaient pas besoin de « renaître », et n'avaient en outre aucun besoin d'un apport étranger pour se développer dans une nouvelle voie. Qu'ont donc fait les Italiens, dont la présence dans le royaume de François Ier et Henri II est pourtant indéniable ? Rien de significatif car, à l'exception de Sebastiano Serlio, ils n'étaient pas de vrais architectes : des peintres, des décorateurs, tout au plus, comme Primatice à propos duquel Palustre demande : « Où a-t-on vu qu'il n'ait jamais eu des prétentions à marcher sur les traces de Vitruve ? » (vol. 1, p. III). De sorte qu'en matière de construction, les Français n'avaient pas besoin de leçons : « Des hommes tels que les Trinqueau, les Gadyer, les Chambiges et les Le Breton n'avaient rien à apprendre du Rosso ou du Primatice, voire même de Serlio » (vol. 1, p. 141). Tous les Italiens qui ont travaillé en France sont péremptoirement exécutés, fra Giovanni Giocondo, dont une longue digression, à propos du château de Sarcus, tente de prouver l'incompétence en matière de construction (vol. 1, p. 75-76) et Dominique de Cortone, dont l'auteur se désole qu'on ait pu lui attribuer Saint-Eustache : « Voilà pourtant où on en arrive lorsqu'on veut forcer les textes et faire à tout prix un architecte d'un simple charpentier » (vol. 1, p. IV). Quant à Serlio, seul véritable architecte, il est dépouillé de toute responsabilité dans la réalisation d'œuvres françaises, en particulier à Fontainebleau, où tout a été conçu par le génie de Gilles Le Breton et achevé par celui de Pierre Chambiges, auteur de la grotte des Pins : « Serlio, quoi qu'on en dise, et quoi qu'on fasse, ne saurait même avoir donné l'idée de la grotte des Pins qui était non seulement bâtie, mais encore décorée avant son arrivée en France » (vol. 1, p. 180).

Cet a priori anti-italien – du moins dans les domaines de l'architecture et de la sculpture, Palustre reconnaissant la supériorité des artistes de la Péninsule dans celui de la peinture – l'amène à des jugements qui paraissent aujourd'hui d'une bien étrange mauvaise foi. Lorsqu'un maçon français commet quelque faute contre la grammaire, c'est l'effet d'une poésie délicate, expression charmante du génie national. Lorsque Serlio, dans l'unique œuvre que lui reconnaît Palustre, le portail de l'hôtel de Ferrare à Fontainebleau, rompt l'architrave par les claveaux de l'arc, c'est une maladresse doublée d'une insoutenable lourdeur. Quand les documents font défaut, Palustre tient parfois de curieux raisonnements, ainsi à propos de la rotonde des Valois commandée par Catherine de Médicis, analysée dans le volume 2. Primatice est évidemment exclu : personne ne songerait à faire de « l'outrecuidant Italien » le concepteur d'un tel monument. Et ce n'est pas son titre de Surintendant des Bâtiments qui y change quoi que ce soit : oubliant que ce fut la charge de Philibert De l'Orme, Palustre renvoie à Babou de la Bourdaisière pour souligner que les prédécesseurs de Primatice dans cette charge n'étaient pas des hommes de l'art. Philibert De l'Orme lui-même est à son tour éliminé pour l'unique raison que l'architecte, qui venait de subir les avanies que l'on sait après la mort de Henri II, ne se serait jamais abaissé à accepter de travailler pour ceux qui l'avaient humilié. Donc, le seul auteur possible reste Pierre Lescot parce que la façade du Louvre offre quelques similitudes avec l'élévation de la Rotonde. Les historiens d'aujourd'hui ne s'accordent pas sur la paternité du projet, généralement attribué à Primatice ou à Jean Bullant, voire à Philibert De l'Orme, mais Lescot n'est jamais évoqué à ce propos.

Même lorsqu'il se fonde sur les documents, il arrive à Palustre de manquer de prudence. À propos de Villers-Cotterêts par exemple, il affirme que les travaux du Logis du Roi absorbèrent seuls les 58 138 livres reçus de 1533 à 1540 par Jacques et Guillaume Le Breton. Un véritable archiviste comme François Gébelin n'a aucune peine à détruire cette « assertion parfaitement invraisemblable, à cause de l'énormité relative de la somme touchée par les maçons : pour la réfection de la cour ovale tout entière, à Fontainebleau, Gilles Le Breton, de 1528 à 1531, n'avait touché que 40 507 livres » (Les Châteaux de la Renaissance, p. 183).

Le principe même de composition du livre de Palustre montre une certaine faiblesse méthodologique. Le volume 1 traite du Nord, de la Flandre au département de la Seine-et-Marne, avec Fontainebleau ; le volume 2 étudie l'Ile-de-France, Paris et la Normandie, et le volume 3 traite des provinces de l'Ouest, de la Bretagne à l'Anjou et au Poitou. Le reste de la France aurait dû occuper les tomes suivants. À l'intérieur de chaque zone géographique, l'auteur traite successivement des monuments remarquables, dans une succession de monographies qui fait passer au second plan toute perspective historique d'ensemble. Du point de vue géographique même, Palustre, sans justifier ce parti, traite de la France telle qu'elle existait en son temps, sans se soucier des frontières qui étaient celles du royaume de François Ier. L'ouvrage débute ainsi, de façon assez étrange, avec la Flandre française, et une longue analyse de la Vieille Bourse de Lille, bâtiment bâti au milieu du XVIIe siècle dans une cité encore espagnole et qui entendait alors bien le rester, et dans un style très septentrional qui n'a rien en commun avec la Renaissance française, même si l'architecte, Julien Destrez, a un nom bien français. On a l'impression que l'auteur, contre toute évidence historique, répugne à diminuer encore le territoire de sa patrie amputée déjà de l'Alsace et de la Lorraine.

Tout n'est pas négatif pourtant dans l'œuvre de Palustre. L'idée de fond, celle de la qualité intrinsèque des artistes et sculpteurs français aux XVe et XVIe siècles, capables de digérer les modèles italiens pour s'accomplir dans un art original, méritait évidemment d'être défendue. On mettra à son crédit l'enthousiasme avec lequel il le fait, enthousiasme dont le contexte historique explique en grande partie ces excès qu'il est facile aujourd'hui de souligner, mais qui se concrétisa en son temps par des actions très positives dans le domaine de la protection des œuvres. Palustre s'en prend volontiers aux vandales, aux restaurateurs peu scrupuleux, s'élevant contre les lourdeurs et les absurdités ravageuses de certaines administrations. L'un de ses plus beaux combats est celui qu'il entreprit contre le dépeçage du château de Montal, dans le Lot, dont les admirables ornements étaient systématiquement démontés par des propriétaires intéressés et des marchands incultes. « Ce sera l'un des titres d'honneur de Palustre », écrit Gébelin, « d'avoir résisté seul à ce flot de répugnante bassesse et protesté contre le vandalisme scandaleux des mercantis qui détruisaient un trésor national pour satisfaire à leurs appétits sordides » (Les Châteaux de la Renaissance, p. 150).

Il faut aussi créditer Léon Palustre d'une attention pour les techniques d'illustration modernes que tous ne partageaient pas à son époque. Il s'intéressait beaucoup à la photographie, transportant un appareil de prises de vue pendant la plupart de ses voyages. Sur ce point, l'illustration de la monographie qu'il rédigea avec Léon Lhuiller sur l'église Saint-Clément de Tours est exemplaire. Palustre y annonce que la publication comprend « la description minutieuse de l'édifice, les renseignements fournis par l'histoire et la reproduction par la phototypie des plus intéressants détails conservés… » Le volume propose en effet quinze planches en lithographie, dont certaines sont réalisées à partir de photographies réalisées en 1883. Les catalogues d'exposition dont il eut la responsabilité témoignent aux aussi de la modernité de son attitude en la matière.

Yves Pauwels, professeur d'histoire de l'art moderne à l'université François Rabelais, Tours

Principales publications

Ouvrages et catalogues d'expositions

Articles

  • « Destruction du château de Montal (Lot) ». Bulletin monumental, 5e série, t. IX, 1881, p. 125-134.
  • « Le Château d'Amboise ». In Havard Henry, La France artistique et monumentale, t. II. Paris : Libraire illustrée, 1893, p. 129.
  • « Le Château de Blois ». In Havard Henry, La France artistique et monumentale. Paris : Libraire illustrée, t. III, 1893, p. 1.
  • « Le Château de Chambord ». In Havard Henry, La France artistique et monumentale. Paris : Libraire illustrée, t. IV, 1894, p. 161.
  • « Chenonceau ». In Havard Henry, La France artistique et monumentale. Paris : Libraire illustrée, t. VI, Paris, 1895, p. 162-192.

Bibliographie critique sélective
 


  • Carré de Busserolle Jacques-Xavier. – « Léon Palustre ». Dictionnaire géographique, historique et biographique d'Indre-et-Loire. Tours : Péricat, 2e éd., 1883, t. II.
  • Marsy Arthur (de). – « Éloge de L. Palustre ». Bulletin monumental, novembre 1894, série 6, t. IX, vol. 59.
  • Desmoutiers F. – « Léon Palustre ». Historique de la Société archéologique de Touraine, 1934, p. 31-36.
  • Dumotier-Sigwalt Éliane. – « Surprises archéologiques du XIXe siècle à travers les bulletins de la Société archéologique de Touraine ». Bulletin de la Société archéologique de Touraine. Tours, t. L, année 2004, p. 249-257.
  • Dumotier-Sigwalt Éliane. – « Sociétés savantes et voyages archéologiques au XIXe siècle : l'exemple de Léon Palustre ». In Demeulenaere-Douyère Christiane, Explorations et Voyages scientifiques de l'Antiquité à nos jours : actes du 130e congrès du CTHS, La Rochelle, printemps 2005. Paris : CHTS, 2008.
  • Faye Henri. – « Léon Palustre » [notice nécrologique]. Bulletin de la Société archéologique de Touraine, t. X, année 1895, p. 13-34.
  • Gébelin François. – Les Châteaux de la Renaissance. Paris : Les Beaux-Arts, 1927.
  • Juhel Vincent, éd. – Arcisse de Caumont (1801-1873), érudit normand et fondateur de l'archéologie française. Mémoires de la Société des antiquaires de Normandie. Caen, t. XL, 2004.
  • Laurencin Michel. – « Léon Palustre ». Dictionnaire biographique de la Touraine. Chambray-les-Tours : CLD, 1992, p. 453-454.

Sources identifiées
 


Pas de sources recensées à ce jour

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