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MÉRIMÉE, Prosper
Mis à jour le 8 septembre 2010(28 septembre 1803, Paris – 23 septembre 1870, Cannes)
Auteur(s) de la notice :
LENIAUD Jean-Michel
Profession ou activité principale
Homme de lettres, homme politique
Autres activités
Inspecteur général des monuments historiques, membre du Conseil d’État, historien de l’art
Sujets d’étude
Histoire de l’art médiéval en France
Carrière
1811-1823 : scolarité au lycée Napoléon, puis licence en droit
1830 : début de son amitié avec la famille de la future impératrice Eugénie
1831-1833 : chef de bureau au secrétariat général du ministère de la Marine, puis chef de cabinet du comte d’Argout, ministre du Commerce et des Beaux-Arts
1832 : maître des requêtes au Conseil d’État
1834-1860 : inspecteur général des monuments historiques
1837 : secrétaire de la Commission des monuments historiques
1839 : vice-président de la Commission des monuments historiques
1843 : rapporteur de la Commission pour la restauration de Notre-Dame de Paris et élection à l’Académie des inscriptions et belles-lettres
1844 : élection à l’Académie française
1848 : membre de la Commission des arts et édifices religieux au ministère des Cultes
1851 : membre de la Commission chargée de l’inventaire des collections de Charles V et de Charles VI
1852 : membre de la Commission du musée des souverains
1853 : sénateur à vie
1855 : membre du jury de l’Exposition universelle pour la section architecture
1868 : dernière participation à la Commission des monuments historiques
1870 : décès à Cannes
1871 : incendie par la Commune de son appartement, 52, rue de Lille à Paris, avec sa bibliothèque et ses papiers personnels
Étude critique
Trop soucieux de se fixer sous les traits d’un amateur désabusé et trop marqué par son activité de praticien au service de la protection du patrimoine historique du pays pour laisser derrière lui la réputation d’un véritable historien de l’art, Prosper Mérimée a néanmoins construit à côté de ses travaux littéraires une œuvre scientifique dont l’importance a été rapidement sanctionnée par son élection en 1843 à l’Académie des inscriptions et belles-lettres et, en 1844, à l’Académie française, puis à la Society of Antiquaries de Londres (1853). Son père, Léonor, secrétaire de l’École des beaux-arts depuis 1807, n’avait pas seulement obtenu le second Grand Prix de Rome avant d’enseigner la peinture, mais avait lui-même publié quelques recherches d’histoire de l’art touchant la peinture à l’huile, les vernis et les couleurs (De la peinture à l’huile […], depuis H. et J. Van Eyck jusqu’à nos jours, 1830).
On sait peu de chose sur sa formation. Qu’avait-il appris sur l’archéologie monumentale de la France avant d’être nommé en 1834, à la suite de Ludovic Vitet, comme inspecteur général des monuments historiques, c’est-à-dire comme coordinateur des travaux d’inventaire, de classement et de restauration, fonction qui supposait de solides connaissances en matière d’architecture médiévale ? On ne le sait pas. Tout au plus peut-on supposer que, comme le fera un peu plus tard son cadet Eugène Viollet-le-Duc (1814-1877), il s’est formé par les voyages – il les adore – et par la lecture de quelques livres, parmi lesquels émergent Les Antiquités nationales, ou Recueil de monuments pour servir à l’histoire générale et particulière de l’Empire français (1790-1799) et Voyage dans les départements du Midi de la France (1811) d’Aubin-Louis Millin, Les Monuments de la France classés chronologiquement de 1816 à 1820 d’Alexandre de Laborde, les premiers volumes des Voyages pittoresques dans l’ancienne France d’Isidore Taylor et de Charles Nodier (à partir de 1820) – il succède à ce dernier à l’Académie des inscriptions et belles-lettres en 1843 – et les publications pionnières d’Arcisse de Caumont, telles L’Architecture religieuse au Moyen Âge publiée en 1824 et l’Histoire de l’architecture religieuse et militaire (1830 et suiv.). On peut encore ajouter que les premiers déplacements qu’il a effectués dans ses fonctions d’inspecteur général ont contribué grandement à sa formation, à la fois par la fréquentation des monuments et des savants locaux. Il faut enfin insister sur le fait que l’homme est doué d’immenses dons intellectuels : un œil et une mémoire visuelle entraînés dès le plus jeune âge par la pratique du dessin et la fréquentation des chefs-d’œuvre, une mémoire des langues qui lui permet de se vanter d’avoir appris le russe en quelques mois et, en tout cas, de rester aujourd’hui un traducteur apprécié de Pouchkine, une virtuosité d’écriture qui a fait de lui un des grands épistoliers de langue française, une faculté d’invention grâce à laquelle La Guzla, choix de poésies illyriques, écrit à l’âge de vingt-deux ans, a pu passer quelque temps comme la traduction d’un texte écrit en vieux slave.
Son œuvre savant tient en un ensemble de titres plus important qu’on ne pourrait le croire tant il souffre de la célébrité de ses romans, nouvelles et pièces de théâtre. Les premiers sont liés à ses attributions d’inspecteur général qui, le conduisant à de longues missions, lui fournissent l’occasion de copieux rapports. C’est ainsi qu’en 1835, il publie ses Notes d’un voyage dans le Midi de la France ; en 1836, ses Notes d’un voyage dans l’ouest de la France ; en 1838, ses Notes d’un voyage en Auvergne et, en 1840, ses Notes d’un voyage en Corse. Ces textes, conçus comme des motivations rédigées en prévision d’une inscription des monuments sur la liste de classement, fournissent des descriptions, des propositions de datation et, le cas échéant, d’attribution, des comparaisons. Dans l’intervalle de ces cinq années, il a également fait paraître un Essai sur l’architecture religieuse au Moyen Âge (1837) et une critique signée sous un pseudonyme britannique : « Le Salon de 1839 » dans la Revue des deux mondes. En 1843, il publie L’Architecture militaire au Moyen Âge ainsi que, dans la Revue des beaux-arts, un article sur le Palais de justice de Paris et la Sainte Chapelle et, en 1845, une notice sur les peintures murales de Saint-Savin. En 1848, dans le contexte de la réorganisation des institutions que veut entreprendre le gouvernement provisoire issu de la révolution de Février, il publie dans la Revue des deux mondes un projet de réforme de l’enseignement artistique intitulé « De 1’enseignement des beaux-arts » et, à l’occasion du remplacement de François Debret par Eugène Viollet-le-Duc à Saint-Denis, un article sur la restauration de l’ancienne abbatiale dans la Revue archéologique. En 1851, il s’intéresse à la commande artistique et publie dans la revue qu’anime l’architecte fouriériste César Daly, la Revue d’architecture et des travaux publics, des propositions intitulées : De la peinture murale dans l’architecture moderne. En 1853, le voici critique d’art pour Le Moniteur universel avec deux articles : « Des monuments de la France » et « Le Salon de 1853 ». L’année suivante, paraît une étude du retable de Bâle, également dans le Moniteur universel et, en 1855, dans le même périodique, une longue analyse du Dictionnaire raisonné de l’architecture de Viollet-le-Duc. En 1855 encore, il publie une biographie d’Alexandre Du Sommerard, le fondateur du musée de Cluny pour la Biographie universelle de l’éditeur Michaud. En 1857, il édite les Instructions du Comité des arts et monuments sur l’architecture gallo-romaine et sur l’architecture du Moyen Âge en collaboration avec Albert Lenoir, Auguste Leprévost et Charles Lenormant.
Cet œuvre pourra sembler peu abondant ou dispersé entre de multiples centres d’intérêts et divers organes de publication. Certains travaux ont été rassemblés dans une publication posthume sous le titre : Études sur les arts au Moyen Âge (1875). Il est certain que, si les Notes de voyage ont fait l’objet de plusieurs rééditions, les articles et autres études n’ont pas été, contrairement à la Correspondance, rassemblés en un volume qui leur eût donné une plus grande lisibilité. Il faudrait sans doute y ajouter les innombrables rapports rédigés dans le cadre de l’administration des Monuments historiques et ceux qui ont été destinés au Sénat impérial concernant des sujets aussi importants que les tapisseries de la Dame à la Licorne (1841), les critères de sélection en prévision du classement (1842), la restauration de Notre-Dame de Paris (1843) et celle des vitraux de la Sainte Chapelle (1847), la découverte de la peinture des Arts libéraux au Puy (1850), le projet de Bibliothèque impériale (1858) et les encouragements à donner aux Beaux-Arts (1861). La science de Mérimée n’est pas, comme on le voit, purement théorique : elle se produit à l’occasion d’applications pratiques : la sélection d’un échantillon en prévision du classement, l’analyse et la documentation d’une œuvre inédite, la rédaction d’un cahier des charges pour la restauration des cathédrales qu’il cosigne en 1849 avec Viollet-le-Duc sous le titre d’Instruction pour la conservation, la restauration et l’entretien […] des cathédrales ou encore l’analyse d’un projet de restauration.
En premier, le savoir de Mérimée repose sur sa capacité à voyager et la disponibilité de son temps : l’une et l’autre sont grandes aussi longtemps qu’il sera habité par une passion qui lui fera oublier les fatigues des inconfortables transports de l’époque. Célibataire, relativement fortuné, il dispose en outre des crédits que le ministère de l’Intérieur met à sa disposition pour se déplacer. La plupart de ses tournées d’inspection se sont étalées de 1834 à 1850 environ, après quoi il préfère la cour impériale aux auberges de province. Pour les préparer, il utilise des cartes géographiques : les cartes de Cassini sont révisées à partir de 1812, les cartes d’état-major sont en cours d’élaboration, la carte de Capitaine, dressée en 1790, est republiée en 1822 et tenue à jour jusqu’en 1840. Il se sert aussi de guides de voyages, tel le Guide pittoresque du voyageur en France paru en 6 volumes entre 1836 et 1838, d’ouvrages de statistique, telle La France pittoresque d’Abel Hugo (1835) : les indicateurs Chaix ne paraissent qu’à partir de 1854 et les guides Joanne ne le font qu’après 1860. Il se déplace par route (le réseau créé par l’Ancien Régime ne s’améliore qu’à partir du Second Empire), diligence, carriole et quelquefois à cheval, mais aussi par bateau. Sur place, il bénéficie du support qu’offrent la préfecture, les réseaux de sociabilité et les sociétés savantes. La découverte des sites monumentaux n’en relève pas moins de l’aventure, telle la découverte qu’il fait de Vézelay en 1834 ou du hasard : c’est à la suite d’un accident de voiture qui l’immobilise qu’il découvre l’église romane de Vignory.
C’est grâce à cette prodigieuse activité de voyageur que Mérimée possède une connaissance concrète, de première main et dense, du patrimoine architectural français. Certes, il n’est pas seul sur les routes, mais reste indétrônable. Le Stendhal des Mémoires d’un touriste ne possède qu’un savoir d’amateur ; Ludovic Vitet et Daniel Ramée s’en tiennent à une seule monographie, celle de la cathédrale de Noyon. Adolphe-Napoléon Didron, fondateur en 1844 des Annales archéologiques, n’inventorie guère plus que les environs des cathédrales de Chartres et de Reims ; Arcisse de Caumont, grand savant, s’en tient pour l’essentiel à sa chère Normandie ; Jean-Baptiste Lassus ne vit pas assez longtemps pour organiser de façon synthétique son savoir. Seul son ami Viollet-le-Duc peut rivaliser dignement avec lui sur les routes et, pour finir, l’emporter pour le savoir archéologique avec les multiples tomes de ses Dictionnaires de l’architecture et du mobilier.
Voyageur plus que théoricien, Mérimée est donc un découvreur, un inventeur d’inédits. C’est face à une œuvre qu’il ne connaît pas qu’on l’observe dans son fonctionnement intellectuel d’historien de l’art. Comment dater, attribuer, interpréter une production que personne ne connaît, dont personne n’a parlé et qu’aucun équivalent n’aide à situer dans le temps et dans le champ de la production artistique ? Face au cloître de Saint-Trophime d’Arles qu’il découvre un peu par hasard, l’homme de lettres Désiré Nisard entend laisser s’exprimer en premier ses sensations et ses sentiments avec la crainte que son savoir ne vienne les étouffer. Après avoir longtemps rêvé, il en vient à regretter de ne pas pouvoir disposer d’un vocabulaire descriptif et de connaissances historiques qui lui permettraient de connaître les conditions dans lesquelles l’édifice a été construit. Devant le même lieu, Mérimée procède très différemment. Il commence par décrire, avec une pratique virtuose du vocabulaire et des typologies mises au point par Caumont et quelques autres, puis entreprend de situer, c’est-à-dire de dater, par rapport à la chronologie générale établie par les savants de son temps et, enfin, porte un jugement sur la qualité artistique de l’œuvre. Face au monument muet dans son énigme, Mérimée fonde en quelque sorte une méthode professionnelle d’interrogation et d’explicitation des réponses.
Le diagnostic, il est vrai, ne s’établit pas toujours de façon aussi rationnelle. Ainsi, devant le Palais des papes, à Avignon, il se montre largement dominé par ses pulsions anticléricales lorsqu’il compare la forteresse à la « citadelle d’un tyran asiatique » ou lorsqu’il reçoit avec complaisance les affirmations d’un guide qui lui prétend que la cuisine était, en réalité, une ancienne salle de torture dans laquelle on apercevait des restes de machines dignes des Carceri de Piranèse. De même, ses préjugés de dessinateur formé à l’esthétique néoclassique s’avèrent souvent trop apparents, par exemple lorsqu’il explique non sans platitude que les peintures du même palais se signalent par « l’absence de toute convention académique », comme s’il fallait s’étonner que l’artiste médiéval n’eût pas été formé à l’école d’Ingres. Devant l’art flamboyant, il fait montre, comme beaucoup de ses contemporains, d’une méprisante incompréhension : « Ces prodiges d’adresse et de patience, dit-il de Notre-Dame de Brou, ne sont pas de l’art ».
Alexandre Dumas eut ce mot : « Mérimée va commencer par apprendre ce qu’il est censé nous enseigner ». La science de Mérimée est souvent superficielle et plus d’un savant local lui a fait le reproche, dès la publication des Notes d’un voyage, d’avoir été trop rapide, mais son œil est infaillible : il repère instantanément les chefs-d’œuvre et se révèle un extraordinaire découvreur : l’abbatiale de Vézelay et les peintures de Saint-Savin fournissent parmi d’autres l’exemple de son talent en la matière. Reste le petit volume publié aux éditions Michel Lévy frères sous le titre Études sur les arts au Moyen Âge en 1875. Qui fut l’instigateur de ce regroupement posthume de sept articles choisis parmi l’œuvre savante de l’auteur ? Était-ce l’éditeur lui-même, qui rééditait alors la plupart de ses ouvrages, notamment son Étude sur l’histoire romaine ? On y trouve son Essai sur l’architecture religieuse au Moyen Âge, particulièrement en France paru en 1837, L’Église de Saint-Savin et ses peintures murales (1845), L’Architecture militaire au Moyen Âge paru en 1843 et repris en 1851, Constantinople en 1403, traduction de l’espagnol d’un texte écrit en 1403 à l’occasion d’une ambassade d’Henri III, roi de Castille et de Léon à Tamerlan (1841), Le Retable de Bâle, pièce d’orfèvrerie donnée à la cathédrale de Bâle par l’empereur Henri II et acquise par le gouvernement impérial pour le musée de Cluny (1854), sa recension de l’édition posthume par Alfred Darcel du travail de Jean-Baptiste Lassus sur l’Album de Villard de Honnecourt (1858) et Les Couronnes du musée de Cluny connues sous le nom de couronnes de Guarrazar que le gouvernement impérial venait d’acheter pour le musée de Cluny où elles étaient présentées dans une armoire conçue par Viollet-le-Duc et peinte par Alexandre Denuelle (1861). Ces textes donnent la preuve d’un historien de l’art engagé dans le présent, soucieux à la fois de protéger, d’enrichir et de faire connaître le patrimoine national.
Car Prosper Mérimée, aux talents multiples et éblouissants, n’a pas été seulement un grand écrivain en langue française, un extraordinaire épistolier, un connaisseur de l’histoire romaine et de l’histoire russe, le traducteur de Pouchkine, un haut fonctionnaire impliqué dans la politique des bibliothèques, des musées et des monuments historiques, un spécialiste de l’architecture médiévale, mais aussi l’un des plus ardents éveilleurs des Français de son temps aux richesses artistiques de leur pays.
Jean-Michel Leniaud, directeur d’études à l’École pratique des hautes études, professeur à l’École nationale des chartes
Principales publications
Ouvrages et catalogues d’expositions
- Notes d’un voyage dans le Midi de la France. Paris : Fournier, 1835.
- Notes d’un voyage dans l’Ouest de la France. Paris : Fournier, 1836.
- Notes d’un voyage en Auvergne. Paris : Fournier, 1838.
- Notes d’un voyage en Corse. Paris : Fournier. 1840.
- Mérimé Prosper et Lenoir Alexandre. – Instructions du Comité historique des arts et monuments. Architecture militaire au Moyen Âge. Paris : Imprimerie royale, 1843 [Collection de documents inédits sur l’histoire de France].
- Notice sur les peintures de 1’église de Saint-Savin. Paris : Imprimerie royale, 1845 [Collection de documents inédits sur l’histoire de France. 3e série. Archéologie].
- Instructions du Comité historique des arts et monuments. Architecture gallo-romaine et architecture du Moyen Âge par Prosper Mérimée, Albert Lenoir, Auguste Leprévost et Lenormant. Paris : Imprimerie impériale, 1857.
- Instructions du Comité historique des arts et monuments. Architecture militaire par MM. Mérimée et Albert Lenoir, membres du comité. Paris : Imprimerie impériale, 1857.
- Études sur les arts du Moyen Âge. Paris : Michel Lévy, 1875.
- Correspondance générale : Prosper Mérimée [établie et annotée par Maurice Parturier, collab. de Pierre Jousserand et Jean Mallion]. T. I-VI. Paris : Le Divan, 1941-1947 ; t. VI -XVII. Toulouse : Privat, 1953-1961.
- Notes de voyages. Préf. de Pierre-Marie Auzas. Rééd. Paris : Adam Biro, 2003.
Bibliographie critique sélective
- Filon Auguste. – Mérimée et ses Amis. Paris : Hachette, 1909.
- Léon Paul. – Mérimée et son Temps. Paris : PUF, 1962 ; revue Europe, numéro spécial consacré à Prosper Mérimée, l975.
- Mallion Jean. – Prosper Mérimée et les Monuments du Dauphiné. Lettres et rapports inédits de Prosper Mérimée. Grenoble : éd. des cahiers de l’Alpe, 1979.
- Leniaud Jean-Michel. – Les Cathédrales du XIXe siècle. Paris : éd. Economica, 1993.
- Leniaud Jean-Michel. – Saint-Denis de 1760 à nos jours. Paris : Gallimard, 1996.
- Darcos Xavier. Mérimée. Paris : Flammarion, 1998.
- Bercé Françoise. – Des monuments historiques au patrimoine. Paris : Flammarion, 2000.
- Leniaud Jean-Michel. – Les Archipels du passé. Le patrimoine et son histoire. Paris : Fayard. 2002.
- Leniaud Jean-Michel. – Fallait-il achever Saint-Ouen de Rouen ? Rouen : ASI éditions, 2002.
- Connaissance des arts, numéro spécial consacré à Mérimée, 2003.
Sources identifiées
Avignon, Archives départementales de Vaucluse
Charenton-le-Pont, Médiathèque de l’architecture et du patrimoine
- Dessins
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