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HOUSSAYE, Arsène
Mis à jour le 3 février 2009(28 mars 1814, Bruyères [Aisne] – 26 février 1896, Paris)
Auteur(s) de la notice :
HOUSSAIS Laurent
Profession ou activité principale
Homme de lettres
Autres activités
Directeur de presse, rédacteur en chef de revue, inspecteur général des œuvres d’art, des écoles de dessin et des musées des départements, administrateur de la Comédie-Française, critique d’art, historien de l’art
Sujets d’étude
Peinture, gravure et sculpture en France, XVIIe et XVIIIe siècles ; peinture flamande et hollandaise du XVIIe siècle ; peinture italienne du XVIe siècle ; Holbein
Carrière
1832 : premier séjour à Paris ; participation à l’insurrection de juin
1833 : installation définitive à Paris
1837 : La Pécheresse, deuxième volume publié sous son nom, marque ses débuts sur la scène littéraire parisienne
1840 : voyage en Hollande
1843 : premier volume de textes sur les artistes du XVIIIe siècle français : Le Café de la Régence ; devient propriétaire et rédacteur en chef de L’Artiste
1844 : voyage en Hollande, en compagnie de Gérard de Nerval
1845 : rachète La Revue de Paris, qui fusionne avec L’Artiste
Entre 1840 et 1846 : voyages en Allemagne, Italie et Sicile
1847 : la parution de son Histoire de la peinture flamande et hollandaise donne lieu à des accusations de plagiat
1848 : après avoir publié une brochure intitulée Liberté, Égalité, Fraternité. Au peuple des campagnes, tente sans succès de se faire élire député dans son département ; s’associe avec l’éditeur Sartorius pour racheter la Revue pittoresque
1849 : est nommé commissaire du gouvernement près le Théâtre de la République (Théâtre-Français) ; confie les destinées de L’Artiste à Paul Mantz et Pierre Malitourne, puis à son frère Édouard Houssaye
1851 : fonde la nouvelle Revue de Paris
1852 : Rachel lit au Théâtre-Français les stances de L’Empire, c’est la paix, composées par Houssaye, lors de la représentation nationale donnée en présence du prince Louis-Napoléon
1856 : démissionne de son poste d’administrateur du Théâtre-Français ; est nommé inspecteur général des œuvres d’art, des écoles de dessin et des musées des départements autres que les musées impériaux, fonction qu’il occupe jusqu’en 1870
1859 : dirige de nouveau L’Artiste (et ce jusqu’en 1880)
1861 : devient propriétaire et directeur de la rédaction de La Presse
1862 : nommé membre de la Commission consultative des beaux-arts, créée cette même année
1866 : dirige La Revue du XIXe siècle
1884 : devient président de la Société des gens de lettres
1887 : fonde et dirige La Revue de Paris et de Saint-Pétersbourg
Chevalier de la Légion d’honneur (1846) ; officier de la Légion d’honneur (1858)
Étude critique
François Arsène Houssaye (dit Housset) est généralement connu pour avoir partagé la vie de bohême de Théophile Gautier et Gérard de Nerval dans le célèbre immeuble de la rue du Doyenné (1834-1836) ainsi que pour sa direction de L’Artiste. Houssaye, qui sait s’entourer de brillants esprits, dont Champfleury, Thoré ou Paul Mantz, consolide la réputation de la revue et y collabore activement, sous son nom ou sous l’un de ses nombreux pseudonymes (propres ou partagés). On lui a beaucoup reproché d’avoir instrumentalisé L’Artiste et ses collaborateurs à son profit. Il est, en outre, souvent jugé coupable de s’être adonné avec plus de prolixité que de talent aux genres littéraires les plus vendeurs, de s’être consacré sans sérieux ni rigueur à l’histoire. Ce polygraphe est nanti de surcroît d’une réputation de plagiaire, de faussaire et de médiocre collectionneur – réputation complaisamment véhiculée par le Journal des Goncourt (10 juin 1879 ; 24 avril 1889 ; 14 mai 1896). Voilà qui jette le soupçon sur l’ensemble de sa production, voire de son action, et rend aisément insupportable, aux yeux de maints contemporains, une carrière faite de succès littéraires, administratifs et mondains.
Houssaye nous a laissé de nombreux textes autobiographiques, mais leur véracité est sujette à caution. Ses Confessions font ainsi remonter son goût pour les arts visuels à l’enfance par des anecdotes aussi plaisantes que suspectes. Toujours est-il que ses débuts littéraires s’appuient sur une activité assez régulière de critique d’art, prolongée par la publication d’articles sur la peinture ancienne, surtout française, flamande et hollandaise, dans la Revue de Paris et la Revue des deux mondes. Cette prédilection pour la peinture ne se démentira guère par la suite.
L’un des principaux titres de gloire d’Arsène Houssaye est d’avoir contribué, à la fin des années 1830 et dans la décennie suivante, au développement du goût pour l’art du XVIIIe siècle. Il s’est placé d’ailleurs lui-même au centre de la distribution des rôles par ses autobiographies et ses préfaces, comme en se faisant le mémorialiste du groupe de la rue du Doyenné. On ne peut nier qu’il fut l’un des premiers auteurs à écrire sur Watteau ou la dynastie des Van Loo. C’est au sein de la Revue de Paris qu’il commence de publier des articles sur les artistes du XVIIIe siècle, réédités en volumes à partir du Café de la Régence (1843). Ses textes accordent une large part à la biographie, genre dans lequel il sacrifie largement au goût de l’anecdote (souvent galante) et du dialogue, sans toujours s’embarrasser des scrupules de l’historien. Louis Réau, dans l’étude sur Carle Van Loo destinée à l’ouvrage collectif dirigé par Dimier (Les Peintres français du XVIIIe siècle, 1928-30), reproche à Houssaye de dénaturer le peu de sources disponibles pour écrire une « vie romancée […] dénuée de tout esprit critique ». Houssaye peut aller plus loin encore en présentant comme vraies de pures affabulations : l’exemple de l’histoire de Rosine dans ses écrits sur Boucher en témoigne (1845). Il est vrai qu’Houssaye entretient sciemment une confusion entre fiction et histoire. Dans la préface du Café de la Régence, il précise que son livre, au-delà de sa dimension historique, présente « l’intérêt d’un roman » et d’une « étude philosophique de l’esprit et de l’amour au XVIIIe siècle ». Le nouveau titre et la nouvelle préface qu’il élabore pour la seconde édition de son volume témoignent d’une ambition plus vaste : son projet est d’aller de Mignard à David, tout en incluant des chapitres thématiques comme Les Arts sous la République. Houssaye plaide cette fois pour « une histoire d’un nouveau genre qui néglige les faits pour les causes, les masses pour les individus » et se justifie sur ses sources. En cherchant « la vérité […] moins dans les livres que dans les journaux et les pamphlets, moins dans les pamphlets et les journaux que dans les lettres imprimées et inédites », Houssaye prétend faire revivre l’artiste – perçu et présenté comme l’incarnation de l’esprit de son siècle, avec ses attraits, ses défauts et ses contradictions – dans son intimité. Sans doute a-t-il su, de ce dernier point de vue, satisfaire un « besoin tout moderne » (Banville) et il ne cessera par la suite d’étoffer et de compléter cette galerie de portraits. Si le devenir de ses images, métaphores ou remarques dans le discours sur l’art du XVIIIe siècle, chez Gautier ou les Goncourt par exemple, montre qu’Houssaye a marqué la sensibilité de son temps, il se montre peu audacieux dans l’établissement de ses taxinomies. En 1853, Banville lui reproche encore de ne pas reconnaître un grand peintre en Watteau. On peut ajouter que l’intérêt d’Houssaye pour les Van Loo vient d’abord de l’importance qu’il accorde à Poussin et Lesueur.
Son Histoire de la peinture flamande et hollandaise, qui couvre les XVe-XVIIe siècles, se présente comme un ouvrage plus rigoureux et plus documenté. Houssaye confesse néanmoins avoir fait prévaloir la connaissance directe des œuvres, garantie par des voyages d’étude, sur l’érudition livresque. Sauf pour Rubens et Rembrandt, qui font l’objet de chapitres indépendants (le second étant associé à « la période suprême du réalisme »), les textes consacrés à chaque artiste sont distribués soit dans des chapitres thématiques dans lesquels l’« art national » est scruté dans la pureté de son alliage (par l’analyse de l’apport antique et italien), soit regroupés dans des catégories qui recouvrent plus ou moins les genres (Frans Hals figure ainsi au premier rang des « peintres de kermesses et de cabarets »). Les préoccupations littéraires ne sont pas absentes puisque l’auteur entend adapter son style à son objet d’étude. L’édition originale, in-folio illustré de cent gravures hors texte, fut publiée en livraisons. Cet ouvrage était destiné à prendre une place importante dans l’historiographie française – le seul Français cité en préface dans la présentation des sources étant Jean-Baptiste Descamps (1715-1791) « qui passe encore aujourd’hui pour le véritable historien des peintres flamands et hollandais » (Houssaye, 1864). Le débat autour de la question du plagiat, alimenté par Michiels, n’entame ni son succès d’édition ni le soutien et la reconnaissance des autorités. En dépit de son enthousiasme, notamment pour Rembrandt qu’il entend admettre parmi les « sept gloires » de la peinture, Houssaye se montre assez traditionnel dans son jugement d’ensemble puisqu’il considère que l’école flamande et hollandaise, dans sa quête de la Beauté, est inférieure à l’art grec et à l’art italien, car plus soucieuse de Vérité que d’Idéal.
En 1869, Houssaye signe une monographie de près de cinq cents pages, Histoire de Léonard de Vinci. Ce travail est en relation directe avec plusieurs articles publiés auparavant dans L’Artiste, parmi lesquels on relève la publication d’un rapport de fouilles à Amboise (1864) et une présentation sommairement commentée du travail historiographique de Giuseppe Bossi (1865) qui témoigne d’une plus grande rigueur dans l’établissement des sources – Houssaye contestera d’ailleurs dans l’ouvrage sa réputation d’« historien romanesque ». On ne saurait oublier que ce proche de Nieuwerkerke a été l’artisan dévoué de la recherche des restes de Léonard, disparus depuis la destruction de l’église Saint-Florentin sous le Premier Empire. Ce grand dessein, sous-tendu par des préoccupations nationalistes, l’a peut-être conduit à montrer un peu d’empressement dans l’identification de la dépouille, mais au moins a-t-il exposé objectivement au public ses preuves et ses arguments.
Houssaye a plutôt été étudié par des spécialistes de la littérature dans le cadre d’une histoire du goût, des représentations et des mythes. On pourrait aussi s’interroger sur l’articulation entre ses écrits sur l’art ancien, sa critique d’art, ses récits de voyage, son action de directeur de presse et ses fonctions d’inspecteur général.
Laurent Houssais, docteur en histoire de l’art, ATER à l’université de Bordeaux III
Principales publications
Ouvrages et catalogues d’expositions
- Le Café de la Régence. Paris : Desessart, 1843 ; rééd. avec une préface supplémentaire sous le titre Le 18e siècle. Poètes. Peintres. Musiciens. Paris : Desessart, 1843 ; nouvelle édition, complétée, sous le titre Galerie de portraits. Le Dix-huitième siècle. Paris : Charpentier, 1845.
- Histoire de la peinture flamande et hollandaise. Paris : J. Hetzel ; La Haye : K. Fuhri ; Amsterdam : Buffa ; Bruxelles : Vandale, Géruzez, Decq, 1846.
- Romans, contes et voyages. Paris : J. Hetzel, 1846.
- Un martyr littéraire. Touchantes révélations. Paris : A. René, [1847].
- Romans, contes et voyages. Paris : Ferdinand Sartorius, 1847.
- Galerie de portraits du XVIIIe siècle. Paris : Charpentier, 1845 ; édition revue et corrigée, Paris : 1948.
- Voyage à Venise. [Paris] : Ferdinand Sartorius, 1850 ; nouvelle édition, augmentée, de la Galerie du XVIIIe siècle. Paris : Hachette, 1858.
- Œuvres de Arsène Houssaye, t. III : Histoire de l’art français au dix-huitième siècle. Paris : Henri Plon, 1860.
- Les Dieux et les Demi-Dieux de la peinture. Paris : Morizot, 1864. Collab. de Théophile Gautier et Paul de Saint-Victor.
- Histoire de Léonard de Vinci. Paris : Didier et Cie, 1869.
- Jacques Callot, sa vie et son œuvre. Paris : Jules Maury et Cie, s.d. [1875].
- Les Dianes et les Vénus. Paris : Michel Lévy, 1875.
- Les Confessions, souvenirs d’un demi-siècle, 1830-1880. Paris : E. Dentu, 1885-1891, vol. 1 ; vol. 2 ; vol. 3 ; vol. 4 ; vol. 5 ; vol. 6.
- Souvenirs de jeunesse. Paris : Flammarion, [1896].
Articles
- « Greuze ». Revue de Paris, XXXIII, septembre 1841, p. 5-31.
- « De la peinture galante en France. Watteau et Lancret ». Revue de Paris, XXXIV, octobre 1841, p. 293-317.
- « Les Vanloo ». Revue des deux mondes, XXXI, 1er août 1842, p. 487-512.
- « Callot ». Revue des deux mondes, XXXI, 15 septembre 1842, p. 939-971.
- « Les Peintres au cabaret. Lantara. Leroy ». Revue de Paris, XI, novembre 1842, p. 65-95.
- « David Téniers ». Revue de Paris, XII, décembre 1842, p. 209-232.
- « Boucher et la peinture sous Louis XV ». Revue des deux mondes, III, 1er juillet 1843, p. 70-98.
- « À propos de l’histoire de la peinture flamande et hollandaise ». L’Artiste, X, 22 août 1847, p. 128.
- « Sébastien Bourdon ». L’Artiste, IX, 15 décembre 1852, p. 145-148.
- « Les Musées de province ». Le Moniteur ; série d’articles, 6 décembre 1857 – 2 mai 1858 [liste dans Lemaître, Arsène Houssaye : notes, souvenirs, bibliographie. Reims : F. Michaud, 1897, p. 183].
- « Portraitistes français des XVIIe et XVIIIe siècle : Largillière et Rigaud ». Revue contemporaine, XIV, 15 mars 1860, p. 111-121.
- « Léonard de Vinci et les fouilles d’Amboise ». L’Artiste, II, 15 décembre 1863, p. 249-254 ; I, 1er janvier 1864, p. 3-7 ; I, 15 janvier 1864, p. 25-30 ; I, 1er février 1864, p. 49-52 ; I, 1er mars 1864, p. 97-100.
- « Études sur Léonard de Vinci : ses historiens ». L’Artiste, I, 15 avril 1865, p. 169-171 ; I, 1er mai 1865, p. 200-203 ; I, 15 mai 1865, p. 229-230 ; I, 1er juin 1865, p. 248-250.
- « Préface ». In Vente Paul de Saint Victor. 23-24 février 1882.
Bibliographie critique sélective
- Michiels Alfred. – Les Nouvelles Fourberies de Scapin. Paris : Moreau, 1847.
- Perrier Jules [pseud. Alfred Michiels]. – Un entrepreneur de littérature. Paris : chez tous les marchands de nouveauté, 1847.
- Banville Théodore (de). – « Critique. Galerie de portraits du XVIIIe siècle par Arsène Houssaye ». L’Artiste, XI, 15 décembre 1853, p. 153-155.
- Mirecourt Eugène (de). – Arsène Houssaye. Paris : Gustave Havard, 1855.
- Galerie de tableaux anciens et quelques modernes, pastels, dessins, miniatures, sculptures, objets d’art [de la collection Arsène Houssaye]. Préface de Jules Claretie, 22 mai 1896.
- Lemaitre Ernest. – Arsène Houssaye : notes, souvenirs, bibliographie. Reims : F. Michaud, 1897.
- Tableaux anciens et modernes, aquarelles, pastels, dessins, gravures [de la collection Arsène Houssaye], 25 novembre 1905.
- Cholakian Rouben Charles. – Arsène Houssaye (1814-1896). His Life and Works. Ph. D., Columbia University, 1963.
- Judah Wayne Maurice. – Arsène Houssaye, his life, his friends, his works. Ph. D., Indiana University, 1963.
- Heylli Georges (de). – Dictionnaire des pseudonymes. Genève : Slatkine Reprints, 1971 (fac-similé de l’édition de 1887).
- Posner Donald. – « Watteau mélancolique : la formation d’un mythe ». Bulletin de la société de l’histoire de l’art français, 1973, p. 345-361.
- Bullen Barrie. – « Walter Pater’s “Renaissance” and Leonardo da Vinci’s Reputation in the Nineteenth Century ». The Modern Language Review, vol. 74, n° 2, avril 1979, p. 268-280.
- Dictionnaire de biographie française. Paris : Librairie Letouzey et Ané, 1989, XVII, p. 1355-1358.
- Chaudenay Roland (de). – Dictionnaire des plagiaires. Paris : Perrin, 1990, p. 164.
- Pierre Larousse. – Grand Dictionnaire universel du XIXe siècle, réimpression de l’édition de 1866-1876. Nimes : C. Lacour, 1991.
- Brunon Jean-Claude – « Théophile Gautier et Arsène Houssaye : une leçon d’écriture en deux portraits croisés : figures d’époque ». Bulletin de la Société Théophile Gautier, 1993, n°15, p. 249-262.
- Goetz Adrien. – L’Artiste, une revue de combat des années romantiques (1831-1848). Thèse de doctorat d’histoire de l’art, université de Paris IV-Sorbonne, 1998.
- Thomas Catherine. – Le Mythe du XVIIIe siècle au XIXe siècle (1830-1860). Paris : Champion, 2003.
- Dufief Pierre-Jean. – « Arsène Houssaye et le XVIIIe siècle ». In Marchal-Ninosque France éd., Ruptures et continuités. Des Lumières au symbolisme, actes du colloque international de Besançon, 18-20 septembre 2002, Nancy : Presses universitaires de Nancy, 2004, p. 233-242.
- Pichois Claude, Brix Michel. – Dictionnaire Nerval. Tusson : Du Lérot, 2006, p. 237-239.
- Epstein Johanna Ruth. – The impassioned brush : perceptions of seventeenth-century Dutch art in France, 1848-1890. Ph. D., New York University, 2007.
- Gotlieb Marc. – Histoire/histories : sur les traces de Léonard. In Recht Roland, Sénéchal Philippe, Barbillon Claire, Martin François-René éd. Histoire de l’histoire de l’art en France au XIXe siècle. Paris : La Documentation française, 2008, p. 215-228.
Sources identifiées
Paris, archives des Musées nationaux
- Correspondances avec le surintendant des Beaux-Arts, candidatures et nominations, documents en rapport avec son Histoire de Léonard de Vinci et différents monuments (Greuze, Vinci, Prudhon), recommandations et demande de décorations.
Paris, Archives nationales
- Dossier de Légion d’honneur (LH/1312/68 ; F21 561)
- Fonds de la Société des gens de lettres, 454AP/210 et 454AP/553
Paris, Bibliothèque nationale de France, département des Manuscrits
- Correspondances diverses et documents le concernant. Voir, notamment, sa correspondance avec Edmond de Goncourt (1852-[1895], Bn mss n.a.f.r. 22466 1-23) et les documents collectés par Félix et Paul Nadar (NAF 24273 et NAF 25015).
En complément : Voir la notice dans AGORHA