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D’ALLEMAGNE, Henry
Mis à jour le 19 juillet 2013Marne-la-Coquette, 30 juillet 1863 – Paris, 25 décembre 1950
Profession ou activité principale
Archiviste paléographe à la bibliothèque de l’Arsenal.
Autres activités
Erudit et collectionneur.
Sujets d’étude
Histoire de la ferronnerie et la serrurerie (XIIe-XVIIIe siècle), des moyens d’éclairage (époque romaine-XIXe siècle), du mobilier, du vêtement (XIIIe-XIXe siècle), historien du jouet, des jeux de société, des cartes à jouer (XIVe-XXe siècle), des pratiques sportives et récréatives, de l’art islamique, du Saint-Simonisme.
Carrière
1887 : Thèse de l’École des Chartes pour le diplôme d’archiviste-paléographe : « La Corporation des serruriers parisiens. Premier poste comme surnuméraire à la bibliothèque de l’Arsenal.
1889 : Organisation de la section du luminaire à l’Exposition universelle de 1889.
1896 : 4e médaille au prix des Antiquités de France, décerné par l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres pour Les Cartes à jouer du XIVe au XIXe siècles en 1906.
1900 : Responsable du secteur de la serrurerie ancienne à l’Exposition universelle de Paris, ainsi que du musée du luminaire et de l’exposition des jouets.
1907 : Mission archéologique du ministère de l’Instruction publique en Perse pour constater l’état de monuments endommagés au cours des récentes guerres et de la révolution de 1907.
1931 : Mention très honorable au prix Michel Perret par l’Académie des sciences morales et politiques pour Les Saints-Simoniens.
1943 : Retraite de la bibliothèque de l’Arsenal.
1944 : Prix Louis Fould pour Les Anciens maîtres serruriers et leurs meilleurs travaux.
Membre résident de la Société nationale des antiquaires de France depuis le 1908, secrétaire en 1917, 2e vice-président en 1925, vice-président en 1926, président en 1927, membre de la commission des fonds de la société en 1929 et 1930.
Membre de la Société des bibliophiles français en 1908.
Officier de l’instruction publique en 1908.
Chevalier de Légion d’honneur en 1908.
Officier de la Légion d’honneur en 1926.
Étude critique
Henry-René d’Allemagne figure parmi les plus importants spécialistes des arts décoratifs de la fin du XIXe et de la première moitié du XXe siècle. Ses nombreuses publications semblent si foisonnantes qu’il serait aisé de le considérer comme un génial touche-à-tout, qu’aucune réelle ligne directrice ne saurait guider. Ce constat inexact résulte en réalité du parcours d’un esprit alerte, sans cesse incité à explorer les domaines connexes à ses champs d’étude antérieurs. D’abord intéressé par l’histoire de la serrurerie, qu’il aborde dans le cadre de sa thèse d’École des Chartes, Henry-René d’Allemagne complète son approche livresque et archivistique en intégrant comme apprenti de 1885 à 1890 l’atelier d’un des plus célèbres serruriers d’art de son époque, Pierre Boulenger, connu pour la réalisation des ferrures de la porte centrale de Notre-Dame de Paris. Cette compétence technique permet à l’historien de réaliser quelques pièces de ferronnerie, comme un pare-feu ou encore des éléments de grilles (Lorraine, collection particulière), mais surtout de porter un regard technique sur les objets étudiés durant l’ensemble de sa carrière. Cette passion de jeunesse influence durablement la suite de ses recherches, souvent enclines à préférer les œuvres en métal à celles réalisées selon d’autres techniques comme la pierre ou encore la céramique.
L’étude des plus remarquables productions des serruriers actifs du XVIe au XVIIIe siècle suscite dans l’esprit d’Henry-René d’Allemagne un profond engouement pour la reconstitution de la vie quotidienne de cette époque, considérée à travers l’étude des objets utilitaires. Très rapidement, ses recherches s’orientent vers le domaine du luminaire, de l’Antiquité au XIXe siècle, puis vers l’univers des jeux et des jouets, avec une prédilection particulière pour les jeux de cartes. La somme intellectuelle de ces multiples explorations est rassemblée dans les Accessoires du Costume et du Mobilier, trois forts volumes publiés en 1928 reproduisant plus de 3000 objets allant du peigne à la plaque de cheminée, avec un goût marqué pour l’étude de la bijouterie. Cette passion pour les pièces de fabrication artisanale s’explique notamment par des préoccupations politiques et philosophiques, marquées notamment par une fascination pour le saint-simonisme considéré à travers le prisme de Barthélémy Prosper Enfantin, dont D’Allemagne doit classer les archives personnelles. Le sentiment de progrès issu de cette doctrine suscite toutefois dans l’esprit de celui-ci la crainte de la disparition inéluctable d’une civilisation traditionnelle incarnée par des objets uniques par leur imperfection, au profit de pièces industrielles moins attrayantes. Cette hantise sous-jacente dans l’ensemble de son œuvre est perceptible dans son goût prononcé pour le fonctionnement des anciennes corporations et par l’audace technique et esthétique des artisans des siècles passés.
La hauteur de vue et la curiosité dont l’auteur témoigne dans ces ouvrages sont la conséquence directe des liens tissés avec plusieurs collectionneurs de haut rang, parmi lesquels figurent le Viennois Albert Figdor, connu pour ses bronzes aujourd’hui conservés à Vienne, ainsi que les Français Victor Gay, auteur d’un important Glossaire archéologique, et Félix Doistau, dont la collection de serrurerie est aujourd’hui partagée entre le Musée du Louvre et le Musée national de la Renaissance. La rencontre d’Henri Le Secq des Tournelles, dont la prodigieuse collection de ferronnerie est aujourd’hui rassemblée dans le musée portant son nom, à Rouen, est sans conteste la plus déterminante de toutes. La rédaction du catalogue de cet ensemble, confiée à D’Allemagne en 1924, permet à celui-ci de connaître intimement un ensemble de plus de 12000 objets, sans équivalent au monde tant par leur nombre que par leur rareté et leur qualité.
Les relations suivies d’Henry-René d’Allemagne avec de grands collectionneurs ainsi que son goût pour l’histoire des objets du quotidien expliquent qu’il soit devenu avide d’acquérir de nombreuses pièces pour son propre compte. Les planches des Accessoires du Costume et du Mobilier reproduisent une grande quantité d’œuvres d’art issues de sa collection personnelle, constituée comme un support de réflexion pour ses nombreux travaux historiques. Afin de la promouvoir, D’Allemagne publie deux volumes agrémentés de nombreux planches photographiques présentant l’intérieur de son hôtel parisien, Rue des Mathurins. Par sa qualité éditoriale, cet ouvrage ambitieux, paru en 1948 sous le nom de La Maison d’un vieux collectionneur, souligne une nouvelle fois l’intérêt porté par son auteur à la bibliophilie. Il témoigne surtout d’une esprit curieux, avide de posséder des pièces remarquables par leurs caractères historiques ou artistiques, et soucieux de les agencer selon une esthétique raffinée, désirant par exemple recréer le climat des pays visités par le propriétaire des lieux. Le voyage de D’Allemagne en Perse, effectué à la demande du gouvernement français dans le but de mieux appréhender la situation des monuments archéologiques de la région, lui fournit l’occasion de découvrir une culture dont il laisse une importante description dans Du Khorassan au pays des Backhtiaris (1912), ainsi que de rapporter un grand nombre d’objets de premier intérêt qu’il agence dans sa demeure parisienne afin de suggérer l’aspect d’un intérieur oriental. Personnage parfois fantasque, D’Allemagne complète la dimension exotique de cet immense réceptacle d’objets d’art en y faisant bâtir un vivarium destiné à abriter un crocodile reçu en cadeau lors d’un voyage en Louisiane. Reflet d’une vie de passions et de voyages, sa maison constitue en outre un exemple particulièrement éloquent des goûts des collectionneurs du début du XXe siècle pour des domaines comme l’Orient ou encore l’art du XVIIIe siècle.
L’impressionnante bibliographie d’Henry-René d’Allemagne, portant sur des secteurs des arts décoratifs aussi variés et méconnus que les toiles peintes ou encore les corporations de serruriers, place assurément cet historien de l’art parmi les plus importants de son époque. En bien des domaines, il fait office de pionnier, en étant par exemple l’un des premiers à considérer comme digne d’étude les pièces de ferronnerie usuelle créées du Moyen-Âge au XVIIIe siècle. L’organisation de chacun de ses ouvrages traduit pourtant l’une de ses principales faiblesses, indissociable de ses forces majeures. Diplômé de l’École des Chartes, Henry-René d’Allemagne aborde systématiquement chacun de ses sujets d’étude par l’analyse des textes de l’époque concernée, avec une prédilection marquée pour les mentions des objets dans les inventaires. Cette approche aboutit à des résultats spectaculaires, comme le montrent notamment les dépouillements des publicités des marchands-merciers parues dans les gazettes parisiennes de l’époque de Louis XV. Elle incite toutefois l’auteur à délaisser avec force l’étude matérielle de l’objet qu’aurait probablement facilitée son savoir-faire pratique : à aucun moment il ne se préoccupe de confronter les enseignements des textes avec la réalité des pièces conservées, pourtant riches en informations techniques (procédés de fabrication) et historiques (dates et signatures éventuellement apposées sur l’œuvre). Cette approche purement livresque, au sein de laquelle l’objet ne constituerait qu’une simple matérialisation d’une description, aboutit à de nombreuses inexactitudes. L’Histoire du Luminaire suggère ainsi de dater les bougeoirs à la romaine, dont le fût est constitué d’une colonne à l’antique, de la seconde moitié du XVIe siècle, les seules occurrences archivistiques avancées pour des exemplaires de ce type datant de cette période. Les représentations picturales de ces objets (Jacques Callot, les Le Nain) démontrent toutefois que leur grande période de fabrication et d’utilisation demeure le deuxième quart du XVIIe siècle, démentant ainsi la pertinence de la chronologie proposée par l’auteur. L’absence d’ouvrages postérieurs aussi ambitieux que ceux de D’Allemagne explique l’audience durable de ses travaux et donc de ses erreurs, celles-ci étant encore largement relayées auprès des collectionneurs, des conservateurs de musées et des experts en salles des ventes. Ces défauts véniels, relativement peu nombreux, ne peuvent toutefois faire oublier l’ampleur exceptionnelle du travail entrepris par Henry-René d’Allemagne, infatigable défricheur de domaines rarement explorés.
Bertrand Bergbauer, docteur en Histoire de l’art, conservateur du patrimoine au musée national de la Renaissance – Château d’Écouen.
Principales publications
Ouvrages :
- Histoire du luminaire depuis l’époque romaine jusqu’au XIXe siècle : ouvrage contenant 500 gravures dans le texte et 80 grandes planches hors texte[illustrations d’Émile Solvete, avec le concours de Berteault et Vacanu]. Paris : A. Picard, 1891, 702 p.
- L’art gothique et la Renaissance en Chypre : Ouvrage publiée sous les auspices au Ministère de l’Instruction publique et des Beaux-Arts, collab. de Camille Enlart. Paris : E.Leroux, 1899.
- Musée du luminaire. Exposition universelle. Classe 75. Groupe XII. Exposition centennale organisée par M. H. d’Allemagne. Chartres : Durand, 1900, 19 p.
- La Serrurerie ancienne à l’Exposition universelle de 1900, par Henry-René d’Allemagne,… Extrait du rapport général de M. P. Larivièr(e). Saint-Cloud : Belin frères, 1902, 80 p.
- Histoire des jouets : ouvrage contenant 250 illustrations dans le texte et 100 gravures hors texte dont 50 planches coloriées à l’aquarelle. Paris : Hachette, 1902, 316 p.
- Musée rétrospectif de la classe 75, éclairage non électrique, à l’Exposition universelle internationale de 1900, à Paris. Rapport du comité d’installation. Saint-Cloud : Belin frères, 1902, 102 p.
- Musée rétrospectif de la classe 100 : jeux à l’Exposition universelle internationale de 1900, à Paris ; rapport par Henry d’Allemagne. Paris : Belin frères, 1903, 2 vol., 379 & 380 p. et 235 planches hors texte.
- Sports et jeux d’adresse : ouvrage contenant 328 illustrations dans le texte et 100 gravures hors texte dont 29 planches coloriées à l’aquarelle. Paris : Hachette, 1903, 382 p.
- Récréations et passe-temps : ouvrage contenant 249 illustrations dans le texte et 142 gravures hors texte, dont 30 planches coloriées à l’aquarelle. Paris : Hachette, 1905, 380 p.
- Les Cartes à jouer du XIVe au XXe siècles : ouvrage contenant 3200 reproductions de cartes dont 956 en couleur, 12 planches hors texte coloriées à l’aquarelle, 25 photocopies, 116 enveloppes illustrées pour jeux de cartes et 340 et vignettes et vues diverses. Paris : Hachette, 1906, 2 vol., 1144 p.
- Petit Guide de l’Exposition rétrospective française des moyens de transports, Exposition internationale de Milan, 1906..38 p.
- Les Jeux des adolescents : les automates. Paris : G. Vitry, 1908, 22 p. [Enseignement par les projections lumineuses. Notices rédigées sous le patronage de la commission des vues instituée près du Musée pédagogique].
- Les Jouets à la World’s fair en 1904 à Saint-Louis (U-S) : et l’histoire de la corporation des fabricants de jouets en France. Chez l’auteur, 1908, 80 p.
- Les Moyens de transport à travers les âges. Paris : G. Vitry, 1908, 15 p.
- Les Pentures de portes au moyen âge. Caen :H. Delesques, 1908, 18 p. [Extrait du « Compte-rendu du LXXIIIe Congrès archéologique de France », tenu en 1906, à Carcassonne et à Perpignan].
- Notice nécrologique sur Amédée Hauvette (1856-1908). Paris, Nogent-le-Rotrou : Daupeley-Gouverneur, 1911, 14 p.
- Du Khorassan au pays des Backhtiaris, trois mois de voyage en Perse. Paris : Hachette, 1912, 4 vol., 228, 250, 271 et 323 p., 960 clichés dans le texte et 255 planches hors texte dont 47 en couleurs.
- La Fabrication des jouets assurée par l’industrie française. Paris : P. Renouard, 1915, 34 p.
- Musée Le Secq Des Tournelles à Rouen, Ferronnerie Ancienne. T. I :. Serrurerie monumentale : grilles, impostes, rampes d’escaliers, serrures et cadenas, clefs, entrées… T. II : Menus ouvrages en fer et en acier : bijouterie en acier et en fonte de Berlin, accessoires de la toilette, fermoirs, boîtes et drageoirs, accessoires servant aux couturières, aux fumeurs…. Paris : J. Schemit, 1924, 2 vol., 50 p. & 405 planches.
- Le Fer forgé à l’Exposition des arts décoratifs et industriels modernes de Paris. Paris : Société d’encouragement pour l’industrie nationale, 1926, 32 p.
- La Très Véridique Histoire de Nette et Tintin visitant le village du jouet, recueillie par Henry René d’Engamella, maire élu de la commune libre de Joujouville. Soixante dix illustrations dans le texte par J. Vazquez. Paris : J. Schemit, 1927, 150 p.
- Les Accessoires du costume et du mobilier depuis le treizième jusqu’au milieu du dix-neuvième siècle : ouvrage contenant 393 phototypies reproduisant plus de 3000 documents. Paris : J. Schemit, 1928, 3 vol., 567 p.
- Le Musée de ferronnerie Le Secq des Tournelles ; Tour Saint-Laurent à Rouen [préf. Henri Paulme]. Paris : Henri Laurens, 1928, 64 p.
- Société nationale des antiquaires de France. Discours de M. H. d’Allemagne, président sortant, prononcé dans la séance du 4 janvier 1928. Paris : C. Klincksieck, 1928, 18 p.
- Les Saints-Simoniens ; ouvrage contenant 15 illustrations dans le texte et 55 planches hors texte dont 17 en couleur [préf. Sébastien Charléty]. Paris : Gründ, 1930, 456 p.
- Prosper Enfantin et les grandes entreprises du XIXe siècle, la colonisation de l’Algérie, la création du réseau P. L. M., le percement de l’isthme de Suez, le crédit intellectuel, le ‘Crédit Foncier’, Enfantin homme politique. Paris : Gründ, 1935, 224 p.
- Réminiscence d’Orient. – Turquie – Perse et Syrie. Paris : Chez l’auteur 1939, 16 p. & 36 planches.
- La Toile imprimée et les indiennes de traite. Paris : Gründ, 1942, 2 vol.
- Les Anciens Maîtres serruriers et leurs meilleurs travaux. Paris : Librairie Gründ, 1943, 2 vol, 448 p.
- Campagne du Maroc : 1844, journal d’Auguste-Hubert Warnier. Paris : Chez l’auteur, 1944, 211 p.
- La Maison d’un vieux collectionneur, collab. Guillaume Janneau. Paris : Gründ, 1948, 2 vol.
- Quatre-vingts toiles imprimées et indiennes de traite de la collection Henry-René d’Allemagne. Paris : Gründ, 1948, 16 p.
- Le noble jeu de l’oie en France, de 1640 à 1950. Paris : Gründ, 1950, 237 p.
- Règles de divers jeux de Cartes. [Triomphe, Reversis, la Mouche, la Brusquembille, le Boston, la Belle], anecdotes, saynètes et notes sur les cartes et la cartomancie, de 1665 à 1903. 21 documents recueillis, s.l., s.d, 1 pochette in-8.
Articles :
- « La coutellerie ». In La Collection Spitzer, Paris, Quantin, 1891, vol. 3, notice n°6.
- « La serrurerie ». In La Collection Spitzer, Paris, Quantin, 1891, vol. 2, notice n°5.
- « L’exposition des enseignes et de la publicité à la bibliothèque nationale ». L’Illustration, 1928.
Comptes-rendus :
- « La Vie privée autrefois. ¬-¬ Variétés gastronomiques. ¬-¬ Les Médicaments, par FRANKLIN Alfred, Paris, Plon et Nourrit, 1891. 2 volumes in-16. ». Bibliothèque de l’École des Chartes, 1892.
Bibliographie critique sélective
- S.a.– « Histoire du luminaire depuis l’époque romaine jusqu’au XIXe siècle ». Bibliothèque de l’École des Chartes, 1891, n°52, p. 475-476.
- Jacqueton Gilbert.– « Sports et jeux d’adresse ». Bibliothèque de l’École des Chartes, 1904, n°65, p. 219-221.
- Jacqueton Gilbert.– « Les Cartes à jouer du XIVe au XXe siècles ». Bibliothèque de l’École des Chartes, 1905, n°66, p. 711-713.
- Marquet de Vasselot Jean-Joseph.– « Les Cartes à jouer du XIVe au XXe siècles ». Revue Archéologique, T. 7, 1906, n°1, p. 220.
- Marquet de Vasselot Jean-Joseph.– « Du Khorassan au pays des Backhtiaris, trois mois de voyage en Perse », Revue Archéologique, T. 19, 1912, n°1, p. 445-446.
- Jacqueton Gilbert.– « Du Khorassan au pays des Backhtiaris, trois mois de voyage en Perse ». Bibliothèque de l’École des Chartes, 1913, n°74, p. 155-159.
- Febvre Lucien.– « Chez les Saint-Simoniens : de la rue Monsigny à l’isthme de Suez ». Annales d’histoire économique et sociale, 1930, vol. 2, n°8, p.632-633.
Sources identifiées
Dossier de la Légion d’Honneur
- 19800035/ 371/ 49808
En complément : Voir la notice dans AGORHA