J. M. W. Turner, Dawn after the Wreck, 1841, graphite, aquarelle, gouache et craie sur papier, 25,2 × 36,9 cm, Londres, The Courtauld Gallery (Samuel Courtauld Trust) © Image Courtesy The Courtauld
En libre accès, dans la limite des places disponibles
Adresse

INHA, galerie Colbert

Janvier 2026
mercredi 28 janvier 2026
17:00 20:00

Depuis une vingtaine d’années, les représentations picturales et graphiques occupent une place croissante dans le champ pluriel des études écocritiques. En faisant dialoguer des chercheuses et chercheurs aux disciplines et aux approches diverses, cette première table ronde, pensée comme une introduction à la résidence, posera la question des méthodologies qui font actuellement émerger une histoire de l’art écocritique.

Intervenants
Sarah Gould (université Paris 1 Panthéon-Sorbonne), Charles-François Mathis (université Paris 1 Panthéon-Sorbonne), Pierre Wat (université Paris 1 Panthéon-Sorbonne), Estelle Zhong Mengual (Sciences Po, Beaux-Arts de Paris), modération par Violaine Gourbet (université polytechnique des Hauts-de-France)

A propos de la résidence INHALab

Dans une volonté politique de privilégier et soutenir la jeune recherche, l’Institut national d’histoire de l’art invite chaque année un collectif de chercheurs à proposer un projet scientifique créatif dans un domaine se rapportant à l’histoire de l’art. L’association Studio XIX est le dixième collectif à être accueilli dans le cadre d’INHALab.

Studio Écocritique XIX

Hébergé au sein de l’association Studio XIX, le collectif « Studio Écocritique XIX » est né d’une conviction partagée : la nécessité de porter un nouveau regard sur la production visuelle, artistique, et plus largement culturelle, du XIX siècle, époque où l’industrialisation a radicalement transformé les paysages, et où émergeaient déjà des critiques sur ses conséquences environnementales. En rassemblant de jeunes chercheurs et chercheuses issus de l’histoire de l’art, de l’histoire environnementale, de la critique et de la création littéraire, ainsi que des professionnels du patrimoine, l’objectif est de créer un espace de dialogue et d’expérimentation autour des imaginaires artistiques nés de la révolution industrielle et de l’avènement de l’anthropocène.

Cette résidence INHALab est articulée en trois volets complémentaires : l’organisation d’un séminaire réunissant chercheurs et chercheuses, artistes, et professionnels du patrimoine ; des performances d’artistes contemporaines ; et une valorisation numérique via le lancement d’un site internet et d’une chaîne de podcasts.

Porteurs du projet
Aliénor Bautru-Valois (université Grenoble Alpes), Joy Cador (université Paris 1 Panthéon-Sorbonne / Sorbonne Université / Institut national du patrimoine), Marie Clemenceau (université Paris 1 Panthéon-Sorbonne), Violaine Gourbet (université polytechnique des Hauts-de-France), Stella Granier (Sorbonne Université), Romain Mainieri (université Paris 1 Panthéon-Sorbonne)