Auteur(s) de la notice : BONNOTTE Claire SPIESER Jean-Michel

Profession ou activité principale

Historien, historien de l’art, professeur

Sujets d’étude
Byzance, art occidental, Islam

Carrière
1892 : agrégé d’histoire
1892-1899 : professeur d’histoire aux lycées de Montauban, Bourges, Reims et Saint-Quentin
1899 : docteur ès-lettres
1900 : nommé à la chaire d’histoire de l’Antiquité et du Moyen Âge à la faculté des lettres de Clermont-Ferrand
1903 : professeur d’histoire de l’Antiquité et du Moyen Âge à la Faculté des lettres de Clermont-Ferrand
1927 : correspondant français de l’Académie des inscriptions et belles-lettres
1930 : mission archéologique au mont Athos
1935 : élu membre libre de l’Académie des inscriptions et belles-lettres

Officier de la Légion d’honneur ; Croix de Guerre (1914-1918) ; membre de la Société des antiquaires de France, de l’Institut archéologique de Russie à Constantinople et de l’Institut Kondakov (Prague) ; membre de l’Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique (Bruxelles), de l’Académie royale d’archéologie de Belgique (Bruxelles) et de la Pontificia insigne Accademia artistica dei Virtuosi al Pantheon (Rome) ; docteur honoris causa de l’université d’Athènes ; commandeur de l’ordre de la Couronne (Roumanie) et commandeur de l’ordre de Saint-Sava (Yougoslavie)

Étude critique

Élève de fameux maîtres en Sorbonne, tels que Paul Guiraud, Ernest Lavisse ou Marcel Dubois, Louis Bréhier est licencié en histoire en 1890, et agrégé deux ans plus tard. Son père, Gaston Bréhier, est proviseur du lycée Janson de Sailly. Le jeune diplômé entame une carrière d’enseignant dans plusieurs lycées de province (Montauban, Bourges, Reims, Saint-Quentin) en qualité tout d’abord de professeur d’histoire, puis de professeur de lettres et d’histoire. Les rapports conservés dans les archives académiques témoignent du sérieux, mais également de la grande timidité du jeune enseignant, dont les supérieurs hiérarchiques pressentent néanmoins le grand avenir. Docteur ès-lettres en 1899, il reçoit dès 1903 un poste de professeur à la faculté des lettres de Clermont-Ferrand, poste qu’il occupera jusqu’à son départ en retraite en 1938, âgé de soixante-dix ans.

À l’image de ses propres sujets d’études, ses cours à l’université reflètent la multiplicité de ses thèmes de recherche, tout à la fois l’Antiquité et le Moyen Âge, mais surtout Byzance et l’Occident.

Malgré la place qu’occupa le monde byzantin dans la carrière, les intérêts et la renommée de Bréhier, il n’a tout de même guère marqué l’évolution de l’historiographie de l’art byzantin. Certes, sa Civilisation byzantine en trois volumes pour la collection « L’Évolution de l’humanité », sa grande œuvre, publiée dans les dernières années de sa vie, est une remarquable synthèse par son ampleur. Riche de très nombreuses notes et d’une abondante bibliographie, elle fait certainement le point de ce que l’on savait sur le monde byzantin à la fin de la première moitié du XXe siècle. Il est loin d’être sûr qu’on ne puisse pas y trouver, encore aujourd’hui, des renseignements utiles et des pistes pour des thèmes négligés par l’historiographie plus récente. Ce n’est pas sans raison que ces trois volumes ont été réédités en 1970. Néanmoins ce monument conclut une époque – une soixantaine d’années qui commencent avec l’œuvre de Gustave Schlumberger, dont la lecture a suscité la « vocation byzantine » de Bréhier pour s’achever avec lui – plus qu’elle n’ouvre de pistes neuves. Cela est particulièrement net dans sa description de l’art byzantin qui n’occupe qu’une trentaine de pages dans le troisième volume de cet ensemble. On y retrouve les grands thèmes de Charles Diehl (le rôle respectif de l’Orient et de l’hellénisme) et de Gabriel Millet (les écoles régionales). Ce chapitre est suivi, il est vrai, d’un chapitre sur l’expansion de l’art byzantin, d’une vingtaine de pages où, d’une manière assez attendue, il s’intéresse en particulier à l’influence byzantine en Occident. Pour ne donner qu’un exemple de cette manière de considérer les questions dans un esprit très traditionnel, pour évoquer les mosaïques, disparues depuis le XVIIIe siècle, de La Daurade de Toulouse, il en parle parmi les « importations » venues d’Orient, méconnaissant l’unité du monde romain de l’Antiquité tardive, malgré d’évidentes différences régionales, mais qui ne peuvent se ranger sous le thème Orient vs Occident. Prisonnier de son temps, Bréhier avait de l’art byzantin une conception « essentialiste » et essayait ainsi d’en mettre en valeur les composantes, les influences subies, les influences exercées, le moment où il était le plus proche de sa vérité profonde.

Si nous avons ainsi commencé par son dernier ouvrage, c’est qu’il reprend en quelque sorte toutes les caractéristiques de son œuvre. Du point de vue de l’art en tout cas, Bréhier n’a guère évolué depuis les premières brochures qu’il a publiées. On retrouve les mêmes dominantes, par exemple, dans sa page d’introduction à La Sculpture et les arts mineurs byzantins où il parle de l’esthétique qui envahit la Grèce à la fin de l’Antiquité et qu’on retrouve en Perse. Il reste que ce livre rassemble une documentation photographique qui, en 1936, année de la parution du livre, était d’une richesse inégalée, mais qui renferme aussi des notices qui rendaient également service. Ce livre aussi a encore mérité une réimpression en 1973, justifiée en l’absence d’un ouvrage équivalent.

Mais on doit aussi à Bréhier L’Art byzantin, petit manuel publié en 1924 – donc une année avant la deuxième édition du Manuel de Charles Diehl – dans une collection certainement destinée à un large public, « Les Patries de l’art ». Ce petit livre d’environ 200 pages, illustré de 96 figures, suit un plan original, thématique et non chronologique. Il offrait certainement une approche commode pour un public cultivé. Cette synthèse est écrite avec un véritable talent, mais aussi une grande rigueur. On sent qu’il a toujours cherché à rester au plus près des connaissances de la recherche de son temps. Son souci de la précision et de l’exactitude se révèle également à travers les très nombreux articles qu’il a consacrés aux sujets les plus divers.

Si on voulait caractériser en quelques mots son mérite, réel, pour la connaissance de l’art byzantin, on pourrait dire que, plus qu’un découvreur et un penseur original, il a largement contribué à en diffuser la connaissance, y compris sous ses aspects les plus nouveaux, à synthétiser ce qui se faisait et à le rendre accessible aussi bien auprès d’un large public que, certainement, de ses étudiants. Un constat assez similaire pourrait être dressé sur la postérité de l’œuvre de Bréhier « occidentaliste », qui a trait principalement à l’art roman.

Dès 1905, il montre en effet un intérêt certain pour l’étude de l’art du monde occidental. Son poste de professeur à l’université de Clermont-Ferrand le conduit presque naturellement à étudier de façon extrêmement poussée l’art roman auvergnat. L’Auvergne lui offre une seconde terre d’investigation pour ses recherches. Bréhier s’intéressait tout aussi bien aux aspects architecturaux, qu’au décor (peinture, sculpture) ou encore aux trésors des édifices de la région, des plus connus aux plus modestes, et faisait remonter le particularisme de cet art au monde carolingien.

L’étude détaillée des monuments régionaux l’amène à s’interroger sur les racines orientales de l’art roman et plus généralement du Moyen Âge. Selon Bréhier, seule l’intervention d’un maître étranger peut expliquer le particularisme de certains édifices régionaux, tout spécialement ceux de la région auvergnate. Il affirme de manière catégorique : « Tout détail d’un édifice étranger à la région doit être attribué à un maître étranger à cette région. » À l’instar d’autres auteurs, comme Ahmad Fikry, il défend ainsi l’idée d’une origine orientale de l’art occidental.

La discipline naissante de l’histoire de l’art roman demeure entre les années d’entre-deux-guerres en plein débat sur les écoles régionales. Pierre Francastel, dans son étude L’Humanisme roman (1942), mentionne à de très nombreuses reprises les travaux de Bréhier dont il reconnaît le caractère tout à la fois timide et réducteur : « M. Bréhier a posé la question chronologique, mais son désir de dégager l’existence d’une école d’Auvergne parmi les premières l’a manifestement empêché de faire à la question des écoles le pas décisif. » Dans une lettre de remerciement qu’il adresse à Francastel le 17 juillet 1942 (fonds Jacques Doucet – bibliothèque de INHA/ Paris), Bréhier revient en partie sur ses propres conclusions, et dit préférer la notion d’intrusion à celle d’influence régionale.

Dans la lignée des études amorcées depuis le milieu du siècle précédent par des érudits tels que Augustin Joseph Crosnier et Adolphe Napoléon Didron, et poursuivies à la fin du siècle par Xavier Barbier de Montault, Bréhier publie dès 1918 un ouvrage consacré uniquement à l’iconographie, qu’il considère comme « une science auxiliaire de l’histoire de l’art », intitulé L’Art chrétien : son développement iconographie des origines à nos jours. Cette publication intervient quelques années seulement avant la fameuse somme d’Émile Mâle L’Art du douzième siècle en France : étude sur les origines de l’iconographie du Moyen Âge (1922). Bréhier salue le travail de ce dernier dans la réédition de son ouvrage en 1928. Il en reconnaît, par rapport aux études précédentes, le caractère réellement scientifique, tout comme celui des travaux de Gabriel Millet qui, selon lui, ont permis de renouveler de manière décisive la connaissance de l’art byzantin.

Son érudition pluridisciplinaire le conduit à participer à toutes sortes d’entreprises de compilation, tels que des dictionnaires, et à collaborer à de très nombreuses revues locales, comme l’Almanach de Brioude, ou plus renommées, comme le Journal des savants.

Il demeurera pendant longtemps le « maître » incontesté de l’art roman auvergnat, faisant rappeler par Zygmunt Zwiechowski dans la préface de son ouvrage La Sculpture romane d’Auvergne (1973) les propos d’Henri Focillon : « Il croit, et il a raison, que lui seul connaît l’art auvergnat. » Toutefois, face aux travaux d’autres historiens d’art, tels que Émile Mâle ou encore Henri Focillon (L’Art des sculpteurs romans. Recherches sur l’histoire des formes, 1931), ses thèses paraissent peu modernistes – notamment celles en rapport avec l’origine orientale de l’art médiéval occidental – et ne seront retenues qu’avec prudence par l’historiographie.

Bréhier acquiert progressivement une renommée internationale et reçoit de nombreuses distinctions de la part d’institutions étrangères, universités et sociétés savantes, en Belgique et en Grèce notamment.

Il n’effectue néanmoins que quatre missions, principalement dans le monde méditerranéen, en Italie et en Grèce. En 1930, il mène, en collaboration avec Gabriel Millet, une mission archéologique au mont Athos et participe également à des congrès archéologiques, en particulier le Congrès des orientalistes et le Congrès des études byzantines entre 1918 et 1925.

De manière générale, Bréhier s’est toujours montré peu enclin à quitter Clermont-Ferrand, devenu jusqu’à la fin de sa vie son port d’attache, et qui le sera encore plus après le décès de son épouse. À sa mort, ses pairs lui rendent un hommage émouvant, saluant l’ampleur de ses travaux et la modestie du personnage.

Bréhier demeure avec Charles Diehl un érudit parmi les historiens de son époque, et l’historien de l’art byzantiniste le plus « occidentaliste », ou pourrait-on dire également le plus « byzantiniste » des « occidentalistes ».

Claire Bonnotte, doctorante en histoire de l’art, et Jean-Michel Spieser, professeur à l’univesité de Fribourg

Principales publications

Ouvrages et catalogues d’expositions

  • De Graecorum judiciorum origine. Thèse latine, Facultati litterarum in Universitate Parsiensi thesim proponebat Ludovicus Bréhier. Lutetiae Parsiorum : apud E. Leroux, 1889.
  • Le Schisme oriental du XIe siècle. Paris : E. Leroux, 1899.
  • Les Colonies d’Orientaux en Occident au commencement du Moyen Âge. 1903.
  • La Querelle des images (VIIIe-IXe siècles). Paris : Librairie Bloud, 1904.
  • Les Origines du crucifix dans l’art religieux. Paris :Librairie Bloud,1904.
  • Les Basiliques chrétiennes. Paris : Bloud et Compagnie, 1905.
  • L’Église et l’Orient au Moyen Âge. Les croisades. Paris : J. Gabalda, 1907.
  • Les Églises gothiques. Paris : Bloud, 1909.
  • Les Églises romanes. Paris : Bloud, 1910.
  • Clermont-Ferrand, Royat et le Puy-de-Dôme ; collab. G. Desdevises du Dézert. Paris : H. Laurens, 1910.
  • Les Églises byzantines. Paris : Bloud, 1912.
  • L’Auvergne : choix de textes précédés d’une étude. Paris : Renouard, H. Laurens, 1912.
  • L’Art byzantin. Paris : H. Laurens, 1924.
  • L’Homme dans la sculpture romane. Paris : Librairie de France, 1927.
  • Les Origines de la basilique chrétienne. Paris : Société générale d’imprimerie et d’édition, 1927.
  • L’Art chrétien : son développement iconographie des origines à nos jours ; 2ème édition revue et complétée. Paris : Renouard, H. Laurens, 1928.
  • L’Art en France. Des invasions barbares à l’époque romane. Paris : La Renaissance du Livre, 1930.
  • L’Église abbatiale de Fécamp. 1930.
  • Les Icônes dans l’histoire de l’art : Byzance et la Russie. Paris, 1932.
  • Les Peintures cappadociennes de l’époque préiconoclaste au XIVe siècle. Paris, 1935.
  • La Sculpture et les arts mineurs byzantins. Paris : Les Éditions d’art et d’histoire, 1936.
  • Les Peintures des églises rupestres de Cappadoce. Rome, 1938.
  • Grégoire le Grand, les États barbares et la conquête arabe (570-757). 1947.
  • Le Monde byzantin 1947-1950. I, Vie et mort de Byzance (1947). II, Les institutions de l’Empire byzantin (1949). III, La civilisation byzantine (1950). Paris : A. Michel.

Articles

  • « Le développement des études d’histoire byzantine du XVIIe au XXe siècle ». La Revue d’Auvergne, janvier-février 1901, p. 1-36.
  • « Un problème d’iconographie religieuse. L’introduction du crucifix en Gaule au VIe siècle ». La Revue d’Auvergne, p. 1-13.
  • « France. Publications relatives à l’empire byzantin ». Revue historique, 87, 1905, p. 341-368.
  • « France. Publications relatives à l’empire byzantin » Revue historique, 91, 1906, p. 313-345.
  • « La Conception du pouvoir impérial en Orient pendant les trois premiers siècles de l’ère chrétienne ». La Revue historique, XCV, 1907, p. 75-79.
  • « L’Art oriental à la fin de l’Antiquité, le palais de Mschatta ». La Revue des idées, 15 juillet 1908, p. 428-432.
  • « Les Études byzantines ». Journal des Savants, juillet 1909, p. 317-322.
  • « Le Motif du galop volant sur une cassette d’ivoire byzantine » La Revue archéologique, 1911, I, p. 428-432.
  • « L’Enseignement de l’archéologie byzantine à l’Université d’Athènes ». Revue internationale de l’enseignement, LXIV, 1912, p. 427-428.
  • « Les Origines de la sculpture romane ». Revue des deux-mondes, 15 août 1912, p. 870-901.
  • « La Question d’Orient sous les Comnène ». Journal des Savants, août 1913, p. 391-404.
  • « À propos de la question « Orient ou Byzance ? ». Byzantinische Zeitschrift, 1913, XXII, p. 127-135.
  • « Constantin et la fondation de Constantinople ». La Revue historique, 1915, CXIX, p. 241-272.
  • « La Situation des chrétiens de Palestine à la fin du VIIIe siècle et l’établissement du protectorat de Charlemagne ». Moyen Âge, 2e série, tome XXI, janvier-juin 1919, p. 1-11.
  • « Les Monuments chrétiens de Salonique ». Revue archéologique, 1919, p. 1-36.
  • « Les Miniatures des Homélies du moine Jacques et le théâtre religieux à Byzance ». Monuments et mémoires publiés par l’Académie des inscriptions et belles-lettres, t. 24, 1921, p. 101-128.
  • « The treasures of Syrian silverware and the art school of Antioch ». Gazette des Beaux-Arts, mars-avril 1920, p. 1-24.
  • « L’Architecture serbe au Moyen Âge ». Moyen Âge, 2e série, t. 23 (mai-août 1921), p. 150- 171.
  • « The Greek Church : its relations with the West up to 1054. Attemps at Reunion of Greek and Latin Churches ». Cambridge Medieval History, 1923, t.IV, ch. IX, p. 246-273 et ch. XIX, p. 594-626.
  • « Les Origines de l’architecture romane en Auvergne. L’œuvre des chapitres et des monastères ». Revue Mabillon, janvier 1923, p. 8-25.
  • « L’Art roman auvergnat et les théories iconographiques de M. Mâle ». Revue d’Auvergne, avril 1923, p. 49-58.
  • « Notes sur l’histoire de l’enseignement supérieur à Constantinople ». Byzantion, 1926, p. 73-94.
  • « Les Églises rupestres de Cappadoce et leur témoignage ». Revue archéologique, 1927, p. 1-47.
  • « Peintures romanes d’Auvergne ». Gazette des Beaux-Arts, 1927, p. 121-140.
  • « Charlemagne et la Palestine ». Revue historique, 1928, CLVII, p. 277-291.
  • « Les Origines et l’évolution de la peinture byzantine ». Revue archéologique, 1929, p. 220-243.
  • « Icônes non faites de main d’homme ». Revue archéologique, 1932, pp. 68-77.
  • « Les Peintures des églises rupestres de Cappadoce, l’œuvre archéologique de R.P Guillaume de Jerphanion ». Orientalia Christiana periodica, 1938, vol. 4, n. 3-4, p. 577-584.
  • « Les Peintures du rouleau liturgique n°2 du monastère de Laura ». Annales de l’Institut Konda-Kov, 1940, XI, p. 1-20.

Bibliographie critique sélective

  • Virolleaud Charles. – « Éloge funèbre de M. Louis Bréhier ». Comptes-rendus de l’Académie des inscriptions et belles-lettres, 1951, p. 356-359.
  • Lemerle Paul. – « Louis Bréhier, collaborateur du Journal des Savants ». Journal des savants, octobre-décembre 1951, p. 170-175.
  • Guilland Rodolphe. – « Louis Bréhier (1868-1951) ». Revue des études byzantines, 10, 1952, p. 291-294.
  • Lemerle Paul. – « Louis Bréhier (1868-1951) ». Revue historique, 1952, p. 380-382.
  • Travis A. – « Louis Bréhier ». Almanach de Brioude, 1952, pp. 9-12.
  • Salin Edouard. – « Notice sur la vie et les travaux de M. Louis Bréhier ». Comptes rendus de l’Académie des inscriptions et belles-lettres, 1954, p. 171-185.

Sources identifiées

Paris, Archives nationales

  • AJ/ 16/ 987
  • F/ 17/ 24662

En complément : Voir la notice dans AGORHA